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Fiches de Pays

Aggamemnia de Phila
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République des Confédérations Unis

FONCTIONNEMENT POLITIQUE

Le Congrès, qui se regroupe au Dôme de la Législature, constitué d’une Chambre Haute (96 Grands Représentants élus au suffrage universel indirect pour 6 ans) et d’une Chambre Basse (451 Représentants élus au suffrage universel direct pour 4 ans) est la branche législative qui fonctionnent de concert pour établir les lois. Le Congrès peut empêcher la nomination d’un juge de la Cours Supérieur, destituer certains de ces juges et destituer le Président dans des circonstances exceptionnelles.

Le Président est la première figure d’autorité de la République, devant le Vice-Président qui s’avèrent être le Président du Congrès. Résidant dans le Manoir d’Ivoire et élu pour quatre ans, il détient les rênes du pouvoir exécutif et est chargé de vérifier les actions du Congrès contre lesquels il peut dresser son veto. Il nomme Quinze Ministres ainsi que les Huit Secrétaires étant au sommet de l’administration. Tout ce petit beau monde forme le Cabinet qui est le cœur de l’exécutif, là où toutes les décisions sont prises.

La Cour Supérieure, se trouvant dans le bâtiment du même nom, est la plus haute autorité judiciaire de la république qui est composés de neuf juges nommés en début de mandat par le Président, à l’instar des membres du Cabinet. Ils sont chargés du respect de la Constitution. En plus de supervisé la Justice, ils peuvent rejeter les lois et décrets présidentielles qu’ils jugent inconstitutionnelles.

HISTOIRE

En 1612, 13 nations ont signé un accord de libre échange ainsi qu'un partenariat économique afin de prendre plus d'importance sur le plan international par cet union économique. La dynamisation fit naître un regain d'intérêt commerciale qui rendit les nations de plus en plus dépendantes de leur union. Ceci conduisit fatalement les gouvernements à reconsidérer la situation, ajoutant des termes aux accords années après années, et c'est ainsi que la République des Confédérations Unis naquit en 1694 lors de la signature du traité de Philathébie, ville qui devint alors la capitale de la nouvelle nation. Les 13 nations initiales, et leurs gouvernements, furent ainsi redistribués en 21 confédérations disposant de lois légèrement différentes les unes des autres mais qui devaient malgré tout respecté les termes du traité de Philathébie qui faisait office de constitution.

L'unification ne se passa pas vraiment tranquillement et un parti pour le retour à l'indépendance des 13 pays vit rapidement le jour, scindant la République des Confédération Unis en deux camps dès les premières élections de la fin d'année 1694. Le Parti Constitutionnelle, renommé rétroactivement Parti d'Unification en opposition au Parti Séparatiste, passant malgré tout, le pays tomba dans une guerre civile de quatre mois. Le manque de soutien, aussi bien financier que matériel, mena rapidement le Parti Séparatiste à sa perte face aux soutiens dont disposés le gouvernement dont le maintien assuré des bénéfices aux compagnies commerciales. C'est donc durant la Bataille des Trois Avenues s'étant déroulé à Chicaga Town que les résistances indépendantistes furent balayés et que l'unification fut confirmé, poussant les derniers réfractaires à devoir accepter la situation.

Cependant, une nouvelle crise politique secoua le pays en 1741 en raison de l'opposition entre le pouvoir exécutif et les pouvoirs législatifs et judiciaires en raison d'une dominance des représentants de l'opposition au sein de ces deux derniers. C'est à cette époque que le pouvoir exécutif quitta Philathébie pour s'établir à Chicaga Town, ce qui rendit le conflit également géographique avec l'opposition entre les deux cités. L'exécutif gagnant finalement cette bataille politique suite aux élections de 1743 qui virent le parti du président obtenir le plus de siège au Congrès, Chicaga Town pris petit à petit une importance supérieure à Philathébie jusqu'à devenir la nouvelle capitale de la République des Confédérations Unis.

Née d'accords commerciaux, la République des Confédérations Unis ne cessa jamais de se développer sur le plan économique, ce qui l'amena à devenir la première puissance économique mondiale dès 1809. Fortement attractive de par les possibilités qu'offrait les différents accords du traité sur le commerce au sein du territoire, de nombreuses sociétés y virent le jour ou s'y installèrent, permettant à l'état de garder sa position sur le podium au sein des grandes puissances. Cette position économique permets à la République des Confédérations de prendre sous sa tutelle d'autres pays, ou régimes, dépendant alors financièrement grandement de cette nation.

PERSONNALITÉS

-George U.U. Jefferson, actuel président
-Ryan Wolfrang, vice-directeur de la Banque Institutionnelle
-Glenn Johnson, président précédent
-Dwyte Roberts, plus ancien membre de la Cour Supérieure
-Walt Vintnay, patron de Vintnay Corporation
-Howard Stars, fondateur de Gagoule
-Preston Richard, Temp Hunter ★
-Erwan Lanchester, Business Hunter ★, consultant chez de nombreuses entreprises
-Drew Glasgow, Blacklist Hunter ★★
-Mycroft, homme mystérieux ayant été remarqué pour avoir fait partie des équipes de campagne des trois derniers présidents

FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉECorps d’Armées des Confédérations Unis

-> Le Président est le chef des armées.
-RCU Army : Armée de Terre dirigé par le Général Continental.
-RCU Navy : La Marine dirigé par le Général Océanique.
-RCU Air Force : Armée Aérienne dirigé par le Général Céleste.
-RCU Marine Corps : Armée de la Justice, ne pouvant êtes dissolue par l’exécutif, dirigé par le Général Constitutionnelle, qui obtient dans la majorité des cas une place au sein des neuf juges de la Cour Supérieure.
-RCU Coast Guard : Armée de Défense, également chargé de la sécurité des réunions du Congrès, du Cabinet et de la Cour Supérieur, dirigé par le Général des Frontières.
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Aggamemnia de Phila
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Aggamemnia de Phila
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MessageSujet: Re: Fiches de Pays

Empire Technologique Soviaskev

FONCTIONNEMENT POLITIQUE

L’Empereur est le maître absolu de l’Empire, celui qui prend les décisions les plus importantes et qui peut imposer son avis au reste du gouvernement.

Les Vingt Huit Prikazes sont chargé d’un secteur de l’Administration Centrale à la manière de ministres, mais ne se consultent pas et ne se réunissent que lorsque cela est nécessaire. Il n’y a donc aucun lien ou aucune cohésion entre eux. Les personnes placées à un tel poste sont depuis deux siècles davantage des favoris de l’empereur que des personnes réellement compétentes dans la gestion. Il vaut donc mieux demeurer dans les bonnes grâces de l’empereur pour conserver son poste, ce qui implique que d’une façon ou d’une autre ils doivent remplir leur office. Cela amena à l’apparition de Prikazes en second, qui est une charge officieuse porté par des personnes qui se répartissent la charge et le travail d’un prikaze.

Au-dessus des prikazes, à la tête de l’Administration Centrale, se trouve le Conseil d’Empire (composé de 43 membres) charger du contrôle de l’administration et qui fait également office de cour de cassation, pour les jugements ayant été déclaré par l’Administration Locale en tout cas sachant qu’ils ont obligation de consulté l’Empereur au cas où ce dernier déciderait de faire pencher la balance d’un côté ou de l’autre. C’est également eux qui ont la charge de la rédaction des lois, de surveiller le budget et de rendre compte du travail et des rapports des prikazes, et par conséquent des prikazes en second, à l’Empereur. Ils disposent également du devoir de conseiller l’Empereur même s’il est le seul à avoir un droit de décision.

L’Administration Locale est composé des Voïvodes, à la fois commandants militaires et seigneurs de leur province, qui disposent sur leurs terres des pouvoirs législatifs, exécutifs et judiciaires tant que cela n’entre pas en contradiction des décrets proclamés par l’empereur et envoyé aux voïvodes par le Conseil d’Empire. Leur autorité demeurera toujours inférieure à celle de l’Administration Centrale qui peuvent défaire toutes les décisions de ces seigneurs. Leur charge militaire au sein d’une nation à la pointe de la technologie les oblige également à participer à l’effort de développement scientifique et à s’assurer que les populations soient éduquées et instruites correctement pour voir l’émergence de cerveaux toujours plus brillants au sein de la population. L’armée et la science sont en effet plus qu’étroitement lié au sein de l’Empire.

Sous les voïvodes, on trouve les fonctionnaires, élus par les habitants de la ville ou du village, qui sont chargé du fonctionnement de la communauté et sont en mesure d’établir des taxes au sein de celle-ci afin de financer des projets, comme la construction d’une grange commune. Pour des affaires mineures ou s’il est impossible d’envoyer un émissaire porter l’affaire aux oreilles du voïvode de la région, les fonctionnaires ont l’autorisation de se réunir pour rendre la justice ou prendre des décisions qui reviendraient normalement au voïvode. Tous les ans, les fonctionnaires doivent également élire le représentant de leur village qui se rendra au domaine du voïvode afin de participer à un conseil où le voïvode écoutera les doléances et les opinions des différents villages qu’il a à sa charge. Différents sujets sont débattus lors de cet assemblée annuel et les décisions s’appliquent généralement à l’ensemble de la région pour l’année à venir. C’est ainsi par exemple que les taxes dû à la seigneurie sont fixées en comptant celles imposés par l’Administration Général ou que la répartition des terres exploitables est redistribuée entre les villages.

Dans le cas des villes les plus importantes du pays où l’industrie, les laboratoires et les universités fleurissent, le fonctionnement est le même, mais le voïvode dispose de moins de pouvoirs là où la population, et surtout les fonctionnaires, en ont davantage. Il n’est d’ailleurs pas rare que des membres du Conseil d’Empire, des prikazes compétents ou des prikazes en second soient à l’origine des fonctionnaires de ces villes technologiques en avance sur leur temps. La nation étant par ailleurs très ouverte au progrès, en dépit du fonctionnement de l’état pouvant sembler archaïque et féodal, les fonctionnaires et les voïvodes peuvent s’arranger ensemble pour mettre en place localement un système politique beaucoup plus moderne quitte à ce que certains d’entre eux perdent leur position.

HISTOIRE

On peut remonter la recherche de l'origine de la culture Soviaskev jusqu'à l'époque de l'apparition des peuplades barbares de l'est de Yorbian autour de l'an 200. En effet, la culture de cette civilisation technologique descendrait des tribus svaldisnavs qui dominait l'extrême nord-est de Yorbian dans les années 250 à 550. La naissance de la société Soviaskev est attribué aujourd'hui à la fondation de Naskov en 755 par une peuplade garmgol, le peuple ayant intégré les svaldisnavs vers l'an 600 et qui en représente par la suite l'évolution. Aujourd'hui ville en ruine, Naskov grandit au fil des années et de nouveaux villages virent le jour à mesure que les garmgols se sédentarisaient. Les peuplades barbares ayant régulièrement suivit un chef de guerre, c'est très rapidement qu'un chef de guerre forma le premier royaume garmgol en 769 en ralliant à sa cause les anciens de chaque villages qui étaient nostalgiques de leur jeunesse guerrière.

Menant une campagne vers l'ouest, Yldir le Jeune de Vhakmol remit le couvert pour une seconde campagne qui lui fut fatal. C'est ainsi que commença la succession de guerriers qui se proclamèrent rois des garmgols, menant à l'existence concrète de onze royaumes garmgols dont deux qui existèrent simultanément. C'est en 820 que la situation se stabilisa enfin autour d'un chef de guerre fiable. Wergöth le Fondateur rallia les cités garmgols et fonda une administration fiable et rendit l'enseignement militaire obligatoire pour les jeunes hommes, allant jusqu'à fonder une école militaire à Kormskavh, sa capitale, qui lui permit également de former des stratèges et d'imaginé des machines de guerres. Formant ainsi une armée solide, il réussit là où ses prédécesseurs avait échoué en faisant des conquêtes hors des territoires garmgols, donnant ainsi naissance à l'Empire Göth en 842.

Dès lors, l'Empire Göth s’agrandit et rétrécit régulièrement jusqu'à 970, date de la mort du dernier descendant de Wergöth, Ylgöth le Franc, de la main du chef d'un clan rival, les clans ayant gagné en puissance individuelle durant les deux derniers règnes. L'assassin de l'empereur se proclama à son tour empereur, mais sa légitimité fut contesté par d'autres chefs de clan ce qui mena à la Guerre des Trente-trois, du nombres de chefs s'étant affronté pour obtenir la souveraineté. Le conflit dura cinq ans et c'est ainsi qu'en 975 le dernier d'entre eux pris le pouvoir et dû s'atteler à reconstruire un royaume détruit par les conflits internes. Cet homme se nommait Soviask le Bâtisseur.

Il modernisa Rutheni, qui devint la capitale de ce qui deviendrait trente ans plus tard le Premier Empire Soviaskev, et entama le reconstruction de nombreux villages, la majorité de la population ayant périt durant la guerre. C'est ainsi que Soviask entama la naissance d'une nouvelle civilisation dont il devint le pilier. Ainsi, jusqu'à ce que les travaux archéologiques révèlent l'histoire de ce passé enfoui, les sources féodales faisaient de Soviask une figure quasi mythologique, un genre de demi-dieu ayant fait naître Rutheni puis les autres cités de l'Empire. Beaucoup de contes, fables et légendes racontent des exploits qui auraient été réalisés par cette figure centrale du folkore soviaskève.

Poursuivant l'œuvre de Soviask, ses descendant firent de l'Empire Soviaskev une puissance féodale importante disposant de fortifications résistantes. Fière de leur technologie de guerre, l'invention de nouvelles méthodes, de nouvelles armes et moyens de défenses devint rapidement une priorité des souverains pour que le pays puisse continué de dominer ses adversaires. Cette volonté se transmis aux intellectuels de la cour, puis aux ouvriers et se métamorphosa progressivement en souhait d'évolué sur toutes les technologies, une volonté qui allait traversé les âges et faire de l'Empire Technologique Soviaskev la première puissance scientifique et technologique mondiale.

En dehors des guerres avec les autres pays, deux conflit majeur frappèrent le pays durant le millénaire. Le premier fut le Conflit de Succession ayant duré de 1438 à 1453 qui vit s'affronté les trois enfants de Ygor VI qui avait répartie l'empire entre ses trois fils. Cette guerre vit mourir les trois prétendants et amena des acteurs étrangers à prendre part au conflit, notamment le roi de la Monarchie du Lion qui était cousin au troisième degré des trois princes ou encore la reine du Jappon dont le père était le frère d'Ygor VI. C'est Vlodam Geyzborg, arrière arrière petit fils du grand père d'Ygor VI et ambassadeur de l'Empire, qui négocia des alliances et ravit le trône à ses deux concurrents principaux. Cependant, cela l'amena à conclure un mariage avec la princesse de la Monarchie du Lion ainsi que marié son cousin à la cadette des princesses du Jappon afin de sceller les négociations.

C'est ainsi que vit le jour le Second Empire Soviaskev après la période des trois empires, Second Empire qui fut menacé quarante ans plus tard lorsque la Monarchie du Lion fit valoir ses droits pour obtenir les territoires soviaskèves puisque Vlodam étant mort, la reine mère était une membre de la famille royale du Lion et par extension le nouveau roi également. Cela entama un conflit complexe entre Vlodam II et son oncle et plus largement entre les deux nations puisque la confrontation dura cent ans et s'acheva sur la Bataille Navale de Sonto-Pelisgrad qui fut le siège d'opération de la Monarchie du Lion durant la majorité de ce siècle. Néanmoins, à peine le pays se releva de ce problème qu'un autre vit le jour. Trop accaparé par le conflit, Slavim IV mourut en 1594, épuisée par les années de combat, peu après que la guerre prit fin sans avoir prit le temps de se faire une descendance. L'Empire Soviaskev se retrouva sans héritier ce qui amorça la Régence du Crépuscule.

Profitant de l'occasion pour remettre le couvert, la défaite se transforma en victoire lorsque la Monarchie du Lion imposa d'envoyer un membre de la famille royal régner sur les territoires soviaskèves. Cette régence prit fin dès 1608, après 10 ans de révoltes menés par la population dans une guerre civile où l'avance technologique de l'Empire fila entre les doigts de la Monarchie du Lion pour être à nouveau utilisé contre elle. Les meneurs de la révolution, l'ingénieur en chef, le général et le conseiller de Slavim IV, furent porté en héros nationaux. C'est ainsi que le général Ivan Tsarpoutine monta sur le trône pour créer le Troisième Empire Soviaskev qui perdure depuis. Rutheni ayant beaucoup souffert de l'occupation, Ivan choisit comme première mesure de déplacer la capitale à Kièf, d'où son descendant règne actuellement, avant de réfléchir à un plan de conquête afin de réaffirmer la puissance du pays.

N'ayant jamais cessé d'évolué avec son temps, l'Empire Soviaskev est resté sur le devant de la scène scientifique tout au long de son histoire tant et si bien qu'elle amorça l'époque moderne et généra la majorité des technologies actuelles, lui assurant la pérennité d'une quantité astronomique d'inventions et sa place parmi les premières puissances mondiales en tant que première puissance technologique.

PERSONNALITÉS

-Sviatoslav Efimovitch Tsarpoutine, l'Empereur
-Pavlovitch Mendeiev, Général-en-chef de l'Empereur
-Leodolv Beilinson, Prikaze de l'Evolution Urbaine
-Dimitri Libgober, PDG le plus important de la Vallée du Silicium
-Piotr Voronoï, responsable du système d'exploitation Doors
-Victor Sossinski, meilleur hackeur criminel du monde
-Tolstoï Gagarine, Future Hunter ★

FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉEForces Armées de l’Empire

->Le Général-en-chef de l’Empereur est également le responsable du développement technologique et scientifique de l’empire ainsi que le Premier Conseiller de l’Empereur, une position particulière au sein du Conseil d’Empire. Il s’agit généralement d’un des cerveaux les plus brillants de son temps.
-La Garde Impériale est dirigé par le Commandant à la Protection de sa Majesté.
-Les Forces de Mouvements Intercontinentales dirigés par le Feld-Maréchal.
-Les Forces Balistiques dirigés par le Major-Général de l’Artillerie.
-Les Forces Spéciales d’Interventions dirigés par l’Adjudant-Général de Frappe Chirurgical.
-L’Unité Prototype des Forces Robotiques d’Annihilation dirigé par le Quartier-Maître du Général-en-chef de l’Empereur.
-L’Unité Impérial de Développement Technologique de l’Armement placé directement sous la direction du Général-en-chef de l’Empereur est chargé de l’invention d’armes de plus en plus mortels, de trouver de nouvelles façons de faire la guerre et de concevoir des véhicules militaires de guerre encore jamais vu. Ils exploitent parfois des sources d’énergie instable qui aboutisse à des armes mortelles compliqués à maîtrisés pouvant se retourner contre eux. Leur objectif est de générer des armes si perfectionner qu’elles supplanteraient le nen.
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Aggamemnia de Phila
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Etat Militaire de Zongka

FONCTIONNEMENT POLITIQUE

Madzing Rongpeing est l’initiateur d’un tout nouveau système politique au sein de Zongka, un système communiste dont il est le grand guide, le Grand Batelier autour duquel se construit un important culte de la personnalité au fur et à mesure des années.

C’est le Parti Populaire de Libération qui détient le pouvoir dans le pays et y maintient un régime de dictature totalitaire qui pousse la population à toujours plus s’investir « le bien et le développement » de la patrie, l’engagement militaire étant la chose la plus mise en avant. Il existe une forte propagande visant à placer sur le devant de la scène des figures d’ouvriers modèles et de héros de guerre, parfois fictif dans les œuvres autorisées à être diffusé dans le pays, qui réalisent de véritables exploits au nom de la nation afin de motiver la population à toujours se donner davantage.

Les organes du pouvoir de l’état, en dehors du Grand Batelier, sont le Conseil des Affaires d’Etat ainsi que l’Assemblé de la Nation Souveraine. Le Conseil des Affaires d’Etat, faisant office de gouvernement central, est composé du chancelier, quatre vice-chanceliers, cinq conciliateurs d'État et vingt-neuf sous-chanceliers et commissions des Affaires d’Etat. L’Assemblé de la Nation Souveraine (composé de 2000 membres élus pour 5 ans par tous les élus des assemblées populaires de provinces eux-mêmes élus par les assemblés populaires des villes et villages de la province qui sont à dissocier du conseil municipal) quant à elle se réunit chaque année environ deux semaines et approuve les nouvelles grandes lignes politiques, les lois, le budget, et les principaux changements de personnel. C’est le Comité Permanent, composé d’une centaine de membres, qui s’occupe d’établir la majorité de la législation. Les initiatives sont généralement présentées au Comité Permanent après avoir reçu l’aval du Bureau Politique du Parti avant d’être considérés par le Conseil des Affaires d’Etat, même s’il est rare que le Comité Permanent n’approuve pas. Etant donné la fort importance de l’armée au sein de la nation, il n’est pas considéré comme normal de trouver des haut-dignitaires militaires à des postes politiques de première importance.

HISTOIRE



PERSONNALITÉS

-Madzing Rongpeing, le Grand Batelier
-Bao Xing, le chancelier
-Gongsung Zang, gouverneur de Wu et ancien général
-Yalung Pung, le sous-chancelier de la Guerre
-Zunk Yan Keng, président du Conseil Permanent et du Bureau Politique du Parti
-Gang Ning , le Premier Amiral
-Yuan Shaon, le Major-Commandeur

FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉEArmée Populaire de la Libération Rouge

-> Le Grand Batelier est le seul et unique général de l’armée qui, avant d’être un dirigeant, était un brillant militaire à la tête de la Grande Armée de Zongka qu’il retourna contre le gouvernement précédent. Il dirige donc l’Armée avec l’aide de tous les officiers d’état-major.
-> L’Etat Major regroupe le Général, le sous-chancelier de la Guerre, le Premier Amiral, le Major-Commandeur, les dix lieutenant-généraux, les lieutenants-généraux en second de chacun des lieutenant-généraux, les six amiraux ainsi que les quatre commandeurs.
-Les Glorieuses Forces Armées Coalisés de Zongka, aka l’Armée Noire, regroupent l’intégralité des forces terrestres de l’armée la plus puissante du monde et est sous la responsabilité et la gestion du Sous-chancelier de la Guerre qui est le plus important du gouvernement. Elles sont divisés en dix Armées, dirigés par les dix lieutenants-généraux, elles-mêmes divisés en Groupes d’Armée, dirigés par les quatre-vingt-huit adjudants-généraux, elles même faites de nombreuses divisions regroupant les profils de combattants divisés en brigades divisés en unités.
-La Marine Rouge, enrichit des armements de l’Empire Technologique de Soviaskev, est sous la direction du Premier Amiral et répartie avec les six amiraux en sept flottes elles-mêmes réparties chacune en huit escadres dont sept sont dirigé par des commandants-amiraux.
-Le Corps Aérien de Zongka est dirigé par le Major-Commandeur ainsi que par quatre commandeurs qui se répartissent ensemble la force de frappe aérienne du pays et délivrent à une quarantaine de sous-commandeurs la possibilité de dirigé une brigade aérienne.
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Aggamemnia de Phila
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Culte de Bodhiisahttarma

HIÉRARCHIE

L’Allahim Laya est un tulku, une réincarnation de l’esprit d’un Bodhiisah et de précédents Allahim Laya. Ainsi, à la mort de l’Allahim Laya, le Panchen-Laya et des moines partent à la recherche de la réincarnation de ce dernier qui sera dès lors qu’il est identifié considérer comme le nouveau dirigeant religieux et temporel du Culte de Bodhiisahtarma. Ainsi tandis que le nouveau Allahim Laya reçoit les dharmas, c’est le Panchen-Laya qui exerce temporairement ses fonctions au sein de l’Institution ainsi qu’à la tête du Culte, même si dans ce cas-là il est assisté par les autres layas.

Le Panchen-Laya, deuxième figure spirituelle du culte, est également un tulku et représente la connaissance et l’érudition. Il est le gardien du Palais Céleste, le protecteur du savoir entourant le Bodhiisahtarma, le porteur des clés de la bibliothèque du Palais Céleste ainsi que le grand instructeur, la principale personne en mesure de jugé si un moine peut recevoir le titre de Laya et dispensé les récits sacrés de Bodhiisahtarma.

Le Laryapa est la troisième figure spirituelle du culte, également un tulku, qui contrairement à ses deux supérieurs ne réside pas au Palais Céleste. Laryapa est la personne chargée de répandre la religion et convertir les peuples sur la voie de la vérité et de la sagesse qu’offre les Bodhiisahs. Il demeure néanmoins en contact avec l’Allahim Laya et peut-être envoyé à la rencontre de chefs d’état pour leur faire part de saintes paroles. À la mort de l’Allahim Laya, il participe à la recherche de la nouvelle incarnation.

Les Layas sont les plus hauts prêtres dans la hiérarchie spirituelle du Culte. Ces primats ont autorité sur les prêtres de leur territoire. Nommé par le Panchen-Laya, ils reçoivent leur pouvoir par l’Allahim Laya. Cinq Laya spécifique, en dehors du Panchen-Laya et de l’Allahim Laya, demeurent toujours présent au Palais Céleste et font partie de l’administration de celle-ci.

Au sein du reste du clergé, les prêtres sont les personnes ayant en charge les temples ainsi que les terres qui les entourent qui sont rattachés au domaine de Bodhiisahtarma. Ils sont souvent consultés par des seigneurs locaux pour prendre des décisions et disposent d’assez d’autorité pour s’imposer dans la vie politique de la région dans laquelle ils sont affectés.

HISTOIRE


PERSONNALITÉS

-Sakyapa, l'Allahim Laya
-Atthadassi, le Panchen-Laya
-Tagatha, le Laryapa
-Shyakamu , célèbre Laya de Layahitarya

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Monarchie du Lion

FONCTIONNEMENT POLITIQUE

Le Monarchie Absolue de l’Auguste Roi des Terres du Lion était autrefois un modèle d’absolutisme. Si officiellement l’Auguste Roi détient toujours tous les pouvoirs et valide absolument toutes les décisions, il dispose d’une Assemblée Monarchique (938 membres élus par le peuple en plusieurs suffrages et selon différent mode de scrutin, certains directes, d’autres indirectes) qui s’occupe de lui soumettre les propositions de lois et autres projets qui concerne la politique interne du pays. L’Assemblée Monarchique est constituée principalement de membres de la noblesse et des bourgeois qui représente le tiers état, mais on y trouve également des prêtres, notamment du Culte de Bodhiisahttarma. Il est aussi arrivé que certains ambassadeurs des autres nations du V6 puisse siéger à l’Assemblée Monarchique même si leur voix était considérée avec moins d’importance que celle des représentants officiels. Ainsi, en matière de politique externe et de relations internationales, tout est entièrement géré par le souverain en personne avec une vingtaine de Ministres chargés de le conseiller et d’appliquer ses décisions.

La Convention est un organisme parallèle à l’Assemblée Monarchique créé par l’arrière-grand-père d’Henrymagne. Il s’agit d’un conseil où siège les ministres ainsi que cent-quatre-vingt-dix représentant issues de tous les corps de métiers du royaume. La Convention est en charge de la réglementation de la vie civil et des métiers afin d’offrir aux citoyens la meilleure vie possible. Ainsi, lorsqu’un différend éclat entre des entreprises sur le territoire du royaume, c’est la Convention de mener les négociations pour mener à un accord. Le but de la Convention est donc de maintenir la qualité de vie optimal des habitant de la Monarchie du Lion qui fait la renommée mondial de la nation et attire toujours plus d’immigrants.

HISTOIRE



PERSONNALITÉS


FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉEArmée Royal du Lion

-> Le Maréchal du Royaume dirige l’armée au nom de l’Auguste Roi et est ainsi chargé d’appliqué une partie de la politique extérieure définit par le souverain.
-La Première, Seconde, Troisième, Quatrième et Cinquième Légion sont les armées terrestres, chacune dirigé par un général d’armée de terre.
-La Sixième, Septième et Huitième Légion sont les armées navales, chacune dirigé par un général d’armée de mer.
-La Neuvième et la Dixième Légion sont les armées aériennes, chacune dirigé par un général d’armée de l’air.
-La Légion Royal, dirigé par l’Etat Major Conventionnelle, est chargé de la protection des institutions et de la cour royal.
-L’Etat Major Stratégique dirigé directement par le Maréchal du Royaume et par le Major de l’Extérieur et qui est l’unité de supervision des légions hors du territoire.
-L’Etat Major Conventionnelle dirigé par le Maréchal du Royaume et par Major de l’Intérieur est l’unité de supervision des légions sur le territoire du royaume.
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Ligue des Cités Libres

FONCTIONNEMENT POLITIQUE

Définir un système politique précis pour les Cités Libres est une tâches assez complexe étant donné que la Ligue est constitué d’une multitude de villes ayant pour la plupart leur propre système politique, avec des conseils et personnalités politiques aux titres et fonctions diverses et variés. Cependant, il existe une entité qui assure la gestion globale de la Ligue : l’Ecclésia. Cette assemblée, composé de mille à deux mille cinq cents membres officiels en fonction des périodes, regroupe des personnes issues de tous les conseils et positions hiérarchiques importantes des différentes cités. Le Haut Ambassadeur qui représente officiellement cette assemblée en est en fait le président dans des termes plus actuels. L’Ecclésia se réunie généralement une fois par mois, mais peut être convoqué pour des séances exceptionnelles. Des sous-groupes de l’Ecclésia peuvent également se réunir, ou se contacter par un appel téléphonique groupé, pour prendre des décisions d’urgence qui peuvent être revu, corrigé ou annulé, lors de la réunion suivante. Ce système complexe, laissant à chacune des cités états une grande marge de liberté sur sa propre politique, a soudé et consolidé l’union des Cités Libres qui se sont maintes fois unis pour faire face aux menaces extérieures pour garder leur indépendance jusqu’à finalement se regrouper officiellement en une Ligue. C’est un des systèmes les plus anciens du monde connu même s’il a subi des mutations et améliorations au cours des siècles.

Parmi ces améliorations, on peut noter la création d’autres assemblés entre les cités en dehors de l’Ecclésia, dont certaines sont des sous-groupes de l’Ecclésia malgré tout, comme le Conseil de Sécurité, le Palankros en charge de l’étude des affaires politiques mondiales, le Dikralion chargé des relations avec les autres nations et de la mise en pratique de la politique extérieur ou la Poulée qui s’occupe de permettre et facilité les relations, de toutes natures, entre les Cités Libres. L’Absopage est l’un de ces conseils secondaires qui s’occupe de la Justice lorsqu’une affaire ne touche pas simplement une seule des Cités Libres, ou qu’il y a des implications avec l’étranger. L’Absopage peut rendre elle-même un jugement ou servir de médiateur, en collaboration avec la Poulée et le Dikralion avec qui l’Absopage partagent certains membres, entre les différents partis impliqués dans l’émission du jugement.

Afin d'avoir un exemple de fonctionnement politique d'une des Cités Libres, voici l'explication des principaux organes du pouvoir politique au sein de Mycénia souvent considéré comme la capitale de la Ligue :

Cinquante magistrats sont élus et siègent au gouvernement sous la supervision du Conseil des Vingt qui dans son entièreté dispose de la majorité des pouvoirs d’un président. Le Conseil des Vingt dispose d’un droit de regard sur l’Achia, une autre assemblée de l’exécutif, qui elle-même dispose d’un droit de regard sur le Conseil des Vingt. Le Tribunal fixant les lois en collaboration avec les autres organes du pouvoir est quant à lui renouvelé tous les six ans. Le Tribunal assure la charge de juge lors des procès et fait également partie du jury. Pour que cela enrichisse la décision du jury et ne la définisse pas, le jury doit être complété par des civils tirés au sort parmi les habitants adultes au nombre du triple des membres du Tribunal. Le Radékaon détient une seconde partie du pouvoir judiciaire et s'assure que le Tribunal reste dans le respect des lois là où c'est le Klidéon qui s'en charge pour le Radékaon alors que c'est le Tribunal qui exerce le même rôle pour le Klidéon.

En dehors des autres regroupements secondaires de la hiérarchie politique se trouve les trois rois de la cité, chacun issue d’une des trois familles royales remontant aux héros mythologiques, dont l’un est supérieur aux deux autres et assure la charge de maire ainsi que de représenter officiellement la cité aux yeux du monde. Une charge qui se retrouve de manière semblable chez le Prince de Troya, équivalent d'un poste de maire, qui est en vérité le président des Trente-Deux, conseil municipal de l'éternel seconde des Cités Libres. Les trois familles royales obtiennent cette place de maire à tour de rôle tout les trois ans. Le Triumvirat des Rois quant à lui a principalement la charge du développement globale de la cité et peut agir à différent niveau et dans les différents conseils dans ce but. Ainsi, les différentes entreprises de premier plan de Mycénia doivent avoir dans leur comité de direction la présence d’un représentant du triumvirat et ces derniers ont un droit de regard sur les actions de l’entreprise afin de définir si cela est le mieux pour la ville et pas simplement pour l’entreprise.

HISTOIRE

L'histoire des Cités Libres est sans aucun doute l'une des plus longue qui soit, tout autant quand on l'observe dans le détail que si l'on cherche à résumé l'Histoire de toutes les nations. Le point par lequel commencer est assez simple : Mycénia, souvent considéré comme la capitale de la Ligue et plus puissante cité-état de la planète, est ni plus ni moins que la plus ancienne ville du monde. En effet, les études archéologiques ont révélé que des traces de sédentarisation trouvés à Mycénia remonte à plus de cinquante mille ans, ce qui en effet un cas unique. Si le site à beaucoup évolué et est peut-être passé de mains en mains, reconstituer la vérité d'un passé aussi lointain étant une tâche ardue, il est désormais sûr et certains que la cité était le berceau et le centre névralgique de la Civilisation Citadine Antique. Beaucoup des Cités Libres ont en effet été fondé entre le quatrième et le second millénaire avant notre ère afin de bénéficier de la proximité avec Mycénia et, pour les premières, afin de copier la majestueuse ville. La culture de la ville s'étendit donc à ses cités-filles avec qui elle commerçait, ce qui connecta les populations pour les rassembler au sein d'une même civilisation grâce à une culture commune qui n'était plus simplement celle de Mycénia mais celle de toutes ces villes.

Les cités-états ne s’entendirent bien évidemment pas toujours très bien et plusieurs conflits virent le jour durant ces millénaires antiques. En mettant en corrélation la Mythologie Citadine et les découvertes archéologiques, les historiens ont ainsi pu prouver que certains des conflits les plus anciens cités dans les textes, gravures, poteries ou tombeaux citadins antiques ont bel et bien eu lieu. Ainsi, la Bataille des Deux Plaines a eu lieu entre -3600 et -3500, la célèbre Bataille des Cinq Cités entre -3200 et -3100, le Conflit du Praklion entre -3000 et -2900, le Siège de Troya entre -2700 et -2600, la Guerre de Krilion entre -2700 et -2500 ou encore l'Attaque de Mycénia entre -2400 et -2300. C’est à partir du milieu du second millénaire avant notre ère que la production de textes se diversifie au sein de la civilisation, la tradition orale des aèdes qui étaient ceux qui racontaient les histoires anciennes au travers de long poèmes épiques commença à laisser sa place à la fixation écrite des dits récits. Trois célèbres très longs poèmes étaient alors les références des aèdes et, par conséquent, racontaient des événements plus difficiles à positionner de par l’évolution que l’histoire avait pu connaître au fil des générations d’aèdes et le manque de marqueurs temporels fiables qui auraient permis de positionner approximativement le conflit en question en le mettant en rapport avec d’autres.

La Trilogie racontait donc la Guerre de Khatre, désormais incarnation du conflit mythologique épique, qui vit s’opposé durant dix ans l’alliance de Troya et Khatre aux autres Cités de l’époque at aboutit à la destruction pur et simple de Khatre. D’ailleurs, la position de cette ville légendaire a longtemps été débattue entre les différents sites de cités antiques en ruines mises à jour par l’archéologie sur la côte est du Littoral Citadin. Cette guerre fut marquée par l’implication de demi-dieux et demi-déesse, héros mythologique descendant de divinités, mais également de dieux et déesses ayant pris parti dans le conflit. La Trilogie est donc composée de l’Ionade racontant la bataille menant à la mise en place du siège de Khatre, de l’Éclès évoquant les événements s’étant déroulé à Mycénia pour défendre les cités des attaques de Troya voulant amener les alliés de la cité de se retirer du siège, ainsi que de l’Arkhalis qui décrit la chute de Khatre et la mise à sac de la cité. Parmi les nombreuses figures du conflit on compte Narioclès et Énos, deux héros mycéniens ayant mené la charge à Khatre, ainsi qu’Ophane, le sage et vaillant demi-dieux ayant mené la défense contre les assauts de Troya jusqu’au moment où il périt lors du dernier assaut de Troya évoqué dans l’Éclès. On peut également citer le puissant et colérique général Priade de Troya ou encore Chiosis le souverain de Khatre ayant lutté jusqu’à la fin pour permettre à certains de ses concitoyens de fuir pour se réfugier à Troya qui fut contrainte de signer la paix pour éviter que plus de sang soit verser.

Si ce texte fondateur donne une bonne idée des différentes valeurs et des mœurs de l’époque de son écriture vers -1600 ou -1550, l’écriture de la Trilogie marquant le passage de la tradition orale à l’écriture des récits dans l’histoire de la civilisation citadine, il s’avère qu’il faut rester critique vis-à-vis des événements et personnages évoqués pour un conflit s’étant passé plus de deux cents ans plus tôt. En effet, la Guerre de Khatre fut longtemps placée entre -2200 et -1800 avant que les découvertes et les recherches permettent d’aboutirent à l’approximation de -2100. Si les événements ne sont pas déroulés comme ils ont été racontés plusieurs siècles plus tard, certains héros étant certainement des archétypes et des incarnations de concept plus que de véritables personnages historiques, il est certains qu’un conflit aussi massif a eu lieu et qu’une grande partie de la population de l’époque disparut dans la guerre. Ceci explique facilement pourquoi cette guerre marqua fortement les mémoires et que les aèdes fassent du conflit la plus grande épopée militaire de leur civilisation. D’après les fouilles récentes, cela a même amené une période de paix intense sur plus d’un siècle, les habitants des cités ne voulant plus connaître un tel massacre.

L’écriture de la Trilogie demeure ainsi une date fondamentale dans l’histoire des Cités Libres, un véritable repère qui marque la fin des temps héroïques pour laisser sa place à la réalité. Les évènements étant dès lors racontés dans des textes et les aèdes disparaissant peu à peu pour céder leurs places à des conteurs récitant les mythes écrits, aucune nouvelle légende ne vit le jour. Ainsi, dès lors les auteurs s’occupèrent de réexplorer les mythes anciens pour les faire redécouvrir, les moderniser ou encore les mettre en relation avec d’autres pour leur donner plus de profondeurs. Ce n’est pas pour autant que l’Histoire s’arrêta et que les conflits cessèrent. L’événement le mieux connu de cette période de cette transition de l’oral à l’écrit et la réforme de la politique mycénienne. C’est à cette période que ceux qui étaient considérés comme les descendants des héros de la guerre de Khatre Narioclès, Énos et Ophane affirmèrent leur autorité issue de leur filiation afin de prétendre à pouvoir dirigé la ville. Un conflit politique éclata donc vers -1500 au sein de Mycénia afin de départager les trois candidats voulant devenir souverain de la cité, concept qui avait été abolit vers -1750 suite à l’assassinat des deux généralissimes et de la révolte du peuple contre le souverain de la ville. Pour mettre fin à la bataille politique qui menaçait de détruire la cité qui commençait à tomber dans une guerre civile dont Troya pourrait profiter pour tenter d’écraser sa rivale, les citoyens finirent par décider d’instaurer un triple règne en exploitant l’ancien principe du roi et des deux généralissimes. C’est ainsi que naquit le Triumvirat des Rois qui se partageaient le pouvoir à tour de rôle selon les modalités définit par les assemblées populaires et qui servirent régulièrement comme chefs des armées durant les conflits suivants.

Entre -1500 et -500, la civilisation citadine continua de se développer et connu un âge d’or entre environ -1150 et -650 durant lequel les citadins étaient l’une des civilisations les plus avancées et puissantes sur la planète. Durant cette période où émergea le nom de « Cités Libres », trois conflits majeurs sont à noter. En premier lieu, une tentative d’invasion de l’empire antique Achyménide fut repoussée par la première alliance entre toutes les cités vers -1000 qui sonna la première étape de la chute de cet empire. Cette défaite déclencha une certaine obsession des dirigeants achyménidiens pour la conquête de cette vaste zone qui s’étendait de plus en plus à mesure que de nouvelles villes voyaient le jour, comme Ostwick qui fut fondé vers -950 par des marchands voulant développer le commerce d’esclave en ayant un point de chute pour leurs voyages vers le nord. Vers -800, c’est la Guerre du Pélocrion qui frappa les Cités Libres. Suite à la monté en tension des relations entre Mycénia et Troya, les Ligues de Dalyos et du Pélocrion dirigé chacune par l’une des deux villes rivales finirent par entrer en conflit. Après trente ans de conflit régulier avec quelques phases de paix, notamment la Paix de Cricias qui fut brisé lors de la prise d’Ostwick, membre de la Ligue de Dalyos, par les troupes de Troya, c’est bien Troya qui remporta le conflit en pénétrant Mycénia et en soumettant les trois rois. Le démantèlement de la Ligue de Dalyos mena à une mise en retrait temporaire de Mycénia qui regagna progressivement en puissance durant les cinquante ans qui suivirent.

C’est ainsi que vers -700, c’est bien le général Alexanclès de Troya qui mena les Cités Libres dans son conflit final contre l’empire Achyménide. La civilisation citadine entra ainsi dans sa première grande campagne hors de ses terres puisque Alexanclès mena l’armée coalisée jusque dans les terres Achyménides et enchaîna les victoires pendant huit ou neuf années consécutives contre un empire désorganisé et en proie à des conflits internes. Alexanclès le Solaire, depuis la ville conquise d’Arbèlas, se proclama ainsi souverain des terres conquises et mena de nouveaux assauts durant les années suivantes, en dépit du désir de ses troupes de rentrer chez elles et des demandes des Cités Libres de revenir à Troya, afin de continuer à agrandir ses possessions. Malheureusement, il fut assassiné par un de ses soldats qui refusait de partir une nouvelle fois au front, ce qui conduisit les troupes à rejoindre les Cités Libres. Cela n’empêcha pas les officiers d’Alexanclès de se partager ses terres en recrutant mercenaires et locaux pour former leurs armées privées et tenter d’assoir leur domination sur leurs homologues. Il ne suffit que de deux ans de ce chaos pour mettre fin à l’existence de ces petits royaumes indépendants qui chutèrent en même temps que l’Empire Achyménide bien trop affaiblit par les attaques qu’avait porté Alexanclès jusqu’à la capitale pour que la dynastie survive à la fureur du peuple. Suite à cette épopée presque mythologique, Alexanclès qui était considéré comme un demi-dieu par ses hommes et les habitants de Troya qui l’avait vu réussir exploit sur exploit durant sa jeunesse fut élevé au rang de Dernier des Héros et immortalisé dans un récit en cinq tomes : les Chroniques du Soleil.

C’est à partir de ce moment que l’âge d’or prit fin pour entrer dans une nouvelle période. La disparition de la personne considérée comme le dernier envoyé des dieux, qui n’avaient pas fait naître de demi-dieux depuis des siècles avant cela, amena les peuples des Cités Libres à se tourner vers des considérations plus réalistes et se détachèrent d’une partie de leurs mœurs pour en faire naître de nouveaux. De plus, les Cités Libres commencèrent à retourner en conflit les unes avec les autres, Mycénia voulant notamment réaffirmer sa supériorité en faisant oubliant sa défaite mémorable dans la Guerre du Pélocrion par une victoire sur Troya. C’est ainsi qu’une nouvelle guerre opposant uniquement ces deux villes vit le jour vers -500 et s’acheva par un traité de paix suite à la débâcle terrestre qu’avait vécu Mycénia et la débâcle naval vécu par Troya durant les trois années de conflit ainsi qu’en raison de la pression exercé par les autres cités qui coupèrent leurs relations commerciales avec les deux rivales. Ce fut la dernière grande confrontation militaire de l’époque, les affrontements devenant bien plus politiques et commerciaux durant les siècles suivants, la puissance économique devenant bien plus centrale que la puissance militaire. C’est alors qu'en -353, les premiers vaisseaux de Bezerose apparurent aux larges des côtes citadines et amorcèrent lors de l'Attaque d'Ostwick une rivalité entre les Cités Libres et les Nations Alliées de Bezerose qui perdurait à travers les siècles jusqu’à nos jours.

Si les habitants des Cités Libres ignoraient les raisons de l’attaque exécuté par ces étrangers, ils ne tardèrent pas à réagir. Mycénia, qui excellait dans le domaine naval, envoya ainsi trois flottes en direction de l’ouest à la recherche des agresseurs tandis qu’ils lancèrent la construction de trois nouvelles flottes. Alors que les marins rapportaient l’existence de terres au-delà de la mer à l’ouest, une nouvelle attaque eu lieu sur la côte des Cités Libres. Craignant de nouveaux assauts, les villes occidentales se rallièrent à Mycénia afin d’user des navires pour envoyer des troupes au-delà de l’océan. C’est ainsi qu’une armada se dirigea vers la côte est du continent Zakhara, là où se trouvait le pays qui envoyait ses vaisseaux pillés des cités au-delà de la mer pour trouver de nouvelles richesses. Cette campagne en terre inconnue fit concrètement entrer cette Première Guerre Bezero-Citadine dans un conflit terrestre qui ravagea l’état ayant lancé des attaques navales un peu plus tôt. Si le triomphe fut au rendez-vous et les soldats rentrèrent chez eux, le conflit continua entre l’est de Bezerose et les Cités Libres de l’ouest avec des batailles régulières séparé par des périodes de tranquillité jusqu’en -248. Cette année-là, les forces citadines repoussèrent le débarquement bezerosien avant que la flotte mycénienne ne brise le blocus que les vaisseaux de l’ouest avaient imposé à la cité. L’armada écrasa les renforts envoyés en secours par les bezerosiens avant de rejoindre les côtes de Zakhara pour détruire Nostralova que les citadins avaient réussi à identifier comme la cité adverse la plus importante, la différence de langue avec leurs adversaires les empêchant de pouvoir se faire indiquer la capitale adverse.

L’écroulement du royaume de Nostra, adversaire des Cités Libres durant ce siècle de découverte du continent de Zakhara, découlant de ces événements offrit un temps de répit aux citadins en ce qui concernait les nations de Bezerose. Si la Première Guerre Bezero-Citadine n’avait pas pu être réglé par une campagne massive des citadins, c’était car ces derniers devaient rester mobilisés afin de ne pas se faire étouffer par l’étau qui se refermait sur eux. Nostre à l’ouest n’était pas la seule menace étant donné que Troya avait rassemblé d’autres villes à sa cause et lançait des assauts depuis l’est afin d’augmenter son influence et piller les ressources de ses adversaires et pouvoir améliorer ses rapports marchands avec les nations du nord. Ainsi, après la chute de Nostralova, les Cités Libres entrèrent dans un nouveau conflit interne opposant la Ligue Mycénienne, à l’ouest, à la Ligue de Krécias, au sud-est, à la Nouvelle Ligue du Pélocrion, au nord-est. Cette confrontation mena à la Prise de Krécias par les forces pélocrionnienne en -231. La ville fut reconvertie le mois suivant en champ de bataille où Troya et Mycénia s’affrontèrent après que les catapultes mycéniennes aient fait tomber les murailles de Krécias. Les ruines de la cité découverte par les archéologues montre l’intensité de la Bataille de Krécias, une bonne partie de la cité ayant été réduite en cendre par les projectiles embrasés ayant fait s’écrouler de nombreux bâtiments. Les restes du Temple Lunaire qui se dressait sur l’acropole de la cité témoigne également de cette violence, la majorité de ses colonnes ayant été retrouvés éparpillés aux pieds de la colline dans d’autres habitations tandis qu’une grande quantité de cadavres armés fut retrouvés dans les décombres du lieu de culte.

Après une semaine de conflit dans les ruines fumantes de Krécias, la trahison du général Crélion mena les forces pélocrionniennes à se diviser, une partie d’entre elle revenant vers Troya afin de couper la route au traître qui avait été chargé de contourner l’armée adverse tandis que l’autre cherchait coûte que coûte à remporter la victoire. La Ligue Mycénienne remporta donc la victoire, mais abandonna la cité dont la reconstruction aurait coûté trop cher. La gestion du coup d’état de Crélion à Troya et la révolte menée par Lémiclès à Mycénia mis un terme à cette guerre qui ne connu donc aucun véritable vainqueur. La trahison de Crélion en pleine guerre fut l’amorce de querelles intestines qui commencèrent à ravager les cités dans une lutte pour le pouvoir qui s’étendit pour certaines jusqu’au début du premier siècle avant notre ère. En dehors des affaires mycéniennes de la Crilé, assemblée dont une moitié fut éradiqué par l’autre pour tenter d’imposer une oligarchie, et d’Analphède, Narioclide ayant prit la tête de l’armée et remporté trois campagnes qui tenta de discréditer son ainé pour obtenir la place de roi, c’est Dalyos qui fut le cas le plus marquant de cette sombre période.

En effet, la cité des banquiers qui avait accueillit la trésorerie de la ligue qui portait son nom lors de la Guerre du Pélocrion fut plus que ravagé par les jeux de pouvoir et d’argents dans lesquels se livrèrent les orateurs, politiciens et autres stratèges dirigeant la ville. Des factions virent le jour et la cité vécu une des plus intenses guerres civiles et dans laquelle fut impliqué des mercenaires ainsi que des armées d’autres cités appelé pour soutenir leurs candidats à la régence de Dalyos. C’est malheureusement ce qui détruisit purement et simplement la ville qui ne s’en remit pas. C’est en -129, lors de la la Nuit au Dernier Silence, qui marqua réellement la fin de Dalyos qui fut par la suite abandonné par survivants. Après que les personnes lucides quant à l’avenir de la cité ou qui n’en avaient que faire de ce conflit qui gangrénait la ville aient tous fuis pour rejoindre une autre ville, les derniers groupuscules représentants les factions entamèrent une dernière action pour prendre le pouvoir des lieux déjà abandonné. Des bandits informés de l’état de Dalyos en interceptant des civils qui partaient pour Mycénia débarquèrent également en espérant pouvoir piller les lieux et trouver l’or des banquiers. Ces criminels furent assez déçus de découvrir que la quasi-totalité des fonds des hautes personnalités de la ville avait été dépensé dans le conflit pour le pouvoir. En partant, ils furent parmi les spectateurs des derniers combats de Dalyos dans lequel mourut le démagogue Typhul devenu fou qui jusqu’au bout cru pouvoir devenir le roi de la cité en écrasant tous ces ennemis, là où plusieurs de ses adversaires politiques avaient abandonné face à l’état d’abandon de la ville qui avait sombré dans l’anarchie.

C'est en -84 que vint l'heure de la Seconde Guerre Bezero-Citadine. En effet, trois royaumes bezerosiens s’allièrent afin de mener une expédition vers les envahisseurs ayant fait chuter le royaume de Nostra. Les flottes étrangères déployèrent un blocus et une force de frappe terrestre qui leur permis de prendre possession d’une des Cités Libres occidentales qui servit dès lors de quartier général des forces bezerosiennes durant toute la durée de ce conflit. Les étrangers envoyèrent donc leurs vaisseaux installer un blocus tout le long de la côte pour bloquer les villes portuaires et les faire se replier sur elle-même. Néanmoins, les Cités Libres se trouvant plus loin dans les terres envoyèrent un message à la puissante Mycénia tout en préparant des renforts qui viendrait soutenir les populations du littoral et les ravitailler. Cependant, le Seconde Guerre Bezero-Citadine se passa sans implication de Mycénia dans le conflit étant donné que la cité mère de la civilisation devait se remettre d’un incendie qui avait ravagé la moitié de sa flotte au début d’année. Ce sont donc les forces de Troya qui furent appelés à rescousse, mais les guerriers refusèrent de prêter main forte aux vassales de sa rivale. Ainsi, c’est une longue lutte entre les bezerosiens et les cités mineurs qui s’engagea et qui trouva sa fin en -78 lorsque les armées citadines reprirent la ville tombée aux mains des envahisseurs, coupant le point de chute des renforts bezerosiens et poussant rapidement les blocus à perdre contact avec leurs supérieures. Coordonnant leur assaut en fixant une date précise, les citadins repoussèrent les navires ennemis qui furent contraint de rentrer sur leur continent. La coalition de trois royaumes de Bezerose tenta une seconde percée en -76 qui amena à nouveau les cités secondaires à s’unir pour contrer la menace et remporté la victoire contre les troupes débarqués bezerosiennes durant la Bataille de la Croisé des Cyclopes qui signa la fin de la guerre.

Si Mycénia ne participa pas, cela fut une certaine frustration pour le jeune Théséon. Ce fils de haute naissance de la glorieuse cité fut bercé par les mythes anciens des héros, autant par la Trilogie de la Guerre de Khatre par les Chroniques du Soleil sur l’épopée d’Alexanclès, tout le long de son enfance et ne comprit pas durant son adolescence pourquoi les hautes instances refusaient d’envoyer leurs troupes au combat. Frustré d’avoir raté la chance de se faire remarquer au combat, Théséon chercha année après année à convaincre les foules citadines qu’il était venu l’heure pour les Cités Libres de mener de nouvelles conquêtes après cette invasion des hommes au-delà de la mer. Cela prit une dizaine d’année avant que le jeune et impulsif soldat ne gagne le cœur des foules par le développement de son éloquence qui lui permit d’atteindre le grade général. Ne pouvant plus stopper l’ascension de Théséon, les dirigeants mycéniens l’envoyèrent négocier avec les autres cités pour qu’ils rejoignent sa campagne, ce qui marcha à la surprise des seigneurs de la ville mère. S’étant préparé durant presque toute sa vie pour ce moment, Théséon s’élança en -64 dans une campagne de conquête aux côtés des légions des autres cités afin de marcher sur le reste du monde.

Les troupes de Théséon franchirent la mer pour débarquer sur les côtes de Zakhara où il affronta les royaumes de l’ancienne coalition tandis que les armées terrestres de l’ouest remontèrent le littoral occidental et les forces menés par Troya remontèrent le littoral oriental. Face à ce déferlement soudain, les royaumes faisant face aux légions citadines ne résistèrent pas et les territoires des Cités Libres s’étendirent, les cités se répartissant les villes soumises en fonction de celles déjà attribués. Théséon lui remporta sa campagne et étendit les possessions mycéniennes jusqu’à l’autre continent de l’autre côté de l’océan en prenant possession des trois royaumes de la Seconde Guerre Bezero-Citadine. Théséon fonda alors sur la côte orientale de Zakhara la Cité Libre d’Alexanclia en hommage au Dernier des Héros, ville qui servirait de pont entre les terres citadines de Zakhara et Mycénia. À la mort de Théséon en -39 pour défendre ses territoires contre les nations bezerosiennes, ce qui serait appelé l’Empire Citadin n’avait pas encore atteint son apogée. En effet, la politique expansionniste du général fut prolongée par les dignitaires militaires dont le pouvoir s’accroissait au fil des victoires. C’est donc Danaïciade de Troya qui mena la seconde partie des conquêtes. Les armées accumulant la fatigue, comme pour Alexanclès, l’épopée prit fin en -12. Ainsi à son apogée, l’Empire Citadin s’étendait de part et d’autre de Seanchan et sur la côte est de Zakhara pour une étendue se trouvant entre celle des actuelles Empire de Kakin et Fédération d’Ochima.

Les troupes ayant trop été répandu sur le territoire, des révoltes éclatèrent dès l’an 3, menant les Cités Libres à perdre leurs possessions les plus lointaines. L’Empire Citadin déclinerait ensuite progressivement durant le premier siècle, devant faire face à des dissensions internes et à la gestion de ces villes vassales jusqu’à la perte des dernières conquêtes en Seanchan en 122. Le regard tourné vers l’ouest, au-delà de l’horizon, les territoires citadins en Zakhara résistèrent plus longtemps et c’est en 149 que commença la Troisième Guerre Bezero-Citadine. Les nations bezerosiennes étaient en effet bien décidés à repousser les étrangers jusqu’à leurs terres pour reprendre pleinement possession de Zakhara. Face à l’alliance de toutes les nations de Zakhara dans cette unique objectif, les troupes citadines ne parvinrent pas à résister et la lutte se transforma petit à petit en massacre. C’est en 161 que les bezerosiens atteignirent les portes d’Alexanclia et assiégèrent la cité avant d’y pénétrer en 162 pour en prendre possession, mettant un terme à la guerre et à la présence citadine en dehors de Seanchan. La débâcle vécue contre l’alliance bezerosienne marqua fortement les Cités Libres et allait fortement influencer le reste de l’histoire de l’agglomérats de cités-états qui en furent d’autant plus touché qu’ils étaient déjà occupés à repousser l’invasion lancé par le royaume Karlian en 158 et craignait l’arrivée de nouveaux ennemis. Heureusement pour eux, cela n’eut pas directement lieu. Les dernières forces karliannes furent boutés hors des territoires citadins en 213 bien que leur présence s’avéra plus secondaire qu’autre chose à partir de l’an 180.

En 264 commença le conflit le plus marquant du premier millénaire pour les Cités Libres : la Grande Guerre Bezerosique, appelé plus rarement mais objectivement Quatrième Guerre Bezero-Citadine. Toutes les nations bezerosiennes de Zakhara s’étaient finalement alliés sous l’influence de quelques politiciens qui craignaient une nouvelle attaque semblable à celle de Théséon. La décision de se lancer à la conquête des Cités Libres pour les soumettre ne se fit pas attendre. La défaite des troupes mycéniennes à Alexanclia raviva les mémoires des grecs qui décidèrent de s’unir face à une menace qui dépassait de loin tout ce que les villes du sud de Seachan avaient connu jusqu’alors. Même les rivales de toujours Mycénia et Troya mirent de côtés leurs différences pour s’allier dans l’adversité. C’est ainsi que le débarquement bezerosien déclencha l’un des plus longs et sanglants conflits que connue la planète. C’est en effet près de quatre cents ans de guerres intensives contre les envahisseurs venant du continent de Zakhara qui forgea un concept qui allait prendre tout son sens quelques siècles plus tard : le pancitadisme, ou plus clairement la volonté de réunir toutes les populations citadines en un grand ensemble unis. En voulant écraser les Cités Libres, les nations de Bezerose les renforcèrent. Si ce furent les envahisseurs qui eurent le dessus durant le premier siècle, ravageant les campagnes citadines et prenant diverses villes, la tendance commença doucement à s’inverser quand les flottes mycéniennes commencèrent à couper l’arrivée de nouvelles troupes alors que les mythiques phalanges de Troya triomphaient d’ennemis plus nombreux grâce à des stratégies militaires terrestres innovantes pour l’époque.

C’est lors du dernier siècle de la guerre que les bezerosiens furent acculés et repoussé jusqu’à chez eux. Cette victoire semblait assez surprenante puisque l’union de toutes les nations de Zakhara avaient toujours été sur le papier supérieur à la force militaire adverse. Si la Ligue des Cités Libres ne vit pas le jour durant cette période, c’est lors de cette époque sombre que le concept est né et que les citadins cessèrent d’entrer en conflits entre eux pour garder le regard river sur leurs ennemis. Ainsi, la Bataille de Thermocolonnades mis fin à la présence bezerosienne en 683 grâce à une double victoire, navale et terrestre, des forces coalisées citadines. Cette fameuse guerre rentra dans la droite lignée de l’héritage héroïque de la mythologie citadine au sein des mentalités de l’époque. Ce conflit est l’une des références en matière de résistance à un envahisseur dans l’Histoire du monde. On peut encore aujourd’hui découvrir certains sites archéologiques s’avérant être des monuments à la gloire et à la mémoire de combattants ayant sacrifié leurs vies pour les Cités Libres durant ce fameux conflit. Le Temple du Souvenir de Mycénia a également été construit à cette occasion pour accueillir tout habitant du monde citadin voulant se recueillir pour prier les soldats citadins morts au combat.

Les Cités Libres connurent période de prospérité et développa encore davantage son commerce avec les autres nations, ne devant s’occuper que d’invasion provenant du nord jusqu’à la Guerre de l’Épice débutant en 759 et qui vit s’affronter Mycénia et San Trinidad, des nations bezerosiennes, dans une Guerre Froide du commerce qui prit fin en 790 par la victoire de Sant Trinidad. Cela mit temporairement fin aux relations commerciales de Mycénia avec Kukanya et Kakin. En 802, Mycénia envoie des explorateurs vers le sud qui ne reviennent que bien plus tard en affirmant avoir découvert des terres maudites et cauchemar. Une seconde expédition est envoyée en même temps au nord et Mycénia rentre alors en contact avec la Monarchie du Lion pour se trouver de nouveaux partenaires commerciaux, ce qui intéresse grandement les nobles de la cour royal du Lion. C’est à cette période que les Cités Libres commencent à dresser des comptoirs commerciaux dans des cités lointaines, idée que reprendra San Trinidad quelques années plus tard en créant la Compagnie des Épices Occidentales.

La Cinquième Guerre Bezero-Citadine, la moins importante, découle de ces rivalités mercantiles en 856. Le conflit n’est marqué que par des batailles d’envergures mineurs et se finit sans camp victorieux en 892 lors du Traité d’Alexanclia. Développant encore un peu plus le commerce, les Cités Libres ne refirent pas vraiment parler d’elles avant 1245 date de la Sixième Guerre Bezero-Citadine marquant le dernier tournant de la rivalité entre les deux agglomérats d’état. C’est en effet pour répondre à la nouvelle menace d’invasion des états bezerosiens mobilisés par le seigneur de San Trinidad que les villes du sud de Seanchan se rassemblent une nouvelle fois pour marquer la naissance de la Ligue des Cités Libres. Regroupé pour la première fois en une seule entité politique globale, les ligues précédentes servant surtout à définir les camps et les alliances lors des guerres antiques entre les cités, les Cités Libres dominèrent le conflit en s’alliant militairement pour la première fois à la Monarchie du Lion et à Zongka qui s’occupèrent des alliés de Bezerose, à savoir Kukanya et Kakin. La Bataille du Cap d’Hyroze qui fut suivit de la Prise de San Trinidad en 1269 marqua la fin du conflit par la victoire écrasante de la Ligue des Cités Libres qui put ainsi forcer la réouverture des relations commerciales avec Kukanya et Kakin. Traditionnellement, on considère que la triple alliance entre les Cités Libres, la Monarchie du Lion et Zongka marque les prémices du V6. En effet, d’après des études théoriques, les modifications géopolitiques qu’auraient entraîné la victoire de Bezerose, Kukanya et Kakin sur l’autre triple alliance aurait pu entraîner progressivement la domination de Bezerose, Kukanya, Kakin, Minbo, Sahelta et Ochima qui serait alors devenu le V6 en lieu et place de celui qui existe aujourd’hui.

À partir de cette date, les Cités Libres unifiées en une ligue ne cessèrent de gagner en pouvoir et en influence en évoluant avec son temps et en maintenant en place ses alliances. Si quelques nouveaux conflits mineurs éclatèrent, la dernière grande confrontation marquante fut la Septième Guerre Bezero-Citadine de 1693 à 1715 lancé par les bezerosiens pour prendre leur revanche sur leur précédente défaite qui les avaient propulsés dans l’ombre de leurs voisins citadins. Cette dernière guerre signa la fin des tensions armées entre les deux agglomérats d’états rivaux, qui se poursuivirent cependant sur le plan commerciale et sociétale, par une nouvelle grande victoire de la Ligue qui montra ainsi qu’elle était incontestablement devenue bien plus forte que les nations de Zakhara. 1715 signa donc le passage de la civilisation citadine dans une nouvelle ère. L’Ecole Militaire de Troya continua d’assurer l’évolution stratégique des méthodes de combats citadines en dépit de la raréfaction progressive des conflits armés impliquant la Ligue entre 1715 et 1900.

Ce qui marqua l’ère moderne des Cités Libres fut l’explosion du phénomène de redécouverte du passé, ou plutôt de l’antiquité, dont la date clé fut 1807 avec la fondation de l’Université d’Histoire de Mycénia. De plus en plus d’archéologues apparurent et exhumèrent les tombeaux et villes en ruines des Cités Libres afin de découvrir la vérité sur le passé mythique de l’antiquité citadine tandis que les érudits littéraires se lançaient dans l’études des textes anciens. Ce phénomène ne cessa de prendre de l’ampleur, notamment vu la densité du passé à explorer, et plaça finalement la Ligue des Cités Libres comme l’une des plus grandes nations en matière de recherches historiques. Il n’y a donc aujourd’hui rien d’étonnant à constater que les zodiaques Feng Roost, Paleograph Hunter 3 étoiles, et Blake Cromwell, Archaeologist Hunter 2 étoiles, faisant partis des plus grands esprits de ce temps sont régulièrement aperçu à l’université mycénienne que ce soit pour consulter les informations qui y sont rassemblés depuis deux siècles ou profiter du matérielle de pointe qu’on y trouve.

Peuple s’étant unifié au fil des siècles de par leur histoire commune et leur rivalité avec les Nations Alliées de Bezerose, la civilisation citadine est devenue une superpuissance solide et stable qui peut se baser sur son long vécu pour savoir s’adapter aux diverses situations. Fortes de son passé, elle a pu tisser de nombreuses relations dans l’ère moderne et s’imposer comme le cœur du monde universitaire des filières historiques.

PERSONNALITÉS

-Alciclès, Haut Ambassadeur de la Ligue des Cités Libres
-Iliada, directrice de l'Université d'Histoire de Mycénia, Archaeologist Hunter ★★★ à la retraite, zodiaque il y a trente ans, ancienne professeure et amie de Feng Roost
-Hécagygès, directeur de l'Ecole Militaire de Troya, Terrorist Hunter ★★ à la retraite, zodiaque il y a trente ans
-Phéadre l'Ophanide, Roi et Maire de Mycénia
-Hexioclès le Narioclide, Roi de Mycénia
-Maclène l'Énoïde, Reine de Mycénia
-Cénélas, le Prince de Troya
-Anacrède, Vicomte d'Ostwick
-Késée, Paleograph Hunter ★★ et professeur de l'Université d'Histoire de Mycénia
-Jasion, Fight Hunter ★ et professeur de l'Ecole Militaire de Troya

FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉEForces Coalisées de la Ligue des Cités Libres

Le système d’armée est tout aussi original que le fonctionnement politique puisque chaque cité-état est pourvu de ses propres forces armées avec leurs grades et différences notables. Néanmoins, les armées sont habitués à collaborer ensemble et peuvent se regrouper en une seule armée qui serait alors placé officiellement sous la direction de l’Ecclésia qui devra voter, parmi l’intégralité de la population des Cités Libres ce qui inclus les différents conseils politiques ainsi que toutes les armées des villes, pour élire le Stratège et les Polémarques des forces coalisées des différentes cités.
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Empire de Sahelta

FONCTIONNEMENT POLITIQUE



HISTOIRE



PERSONNALITÉS

-Rutherford Goldbach, l'Empereur de Sahelta
-Cliver Obton, maire de York Shin
-Abraham Von Ghorim, directeur du Centre de Recherches
-Brook Mercury, PDG de Brook Industries
-La Famille Hattane
-La Famille La Vérendrye

FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉEArmée Impériale Saheltane


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MessageSujet: Re: Fiches de Pays

Empire de Kakin

FONCTIONNEMENT POLITIQUE



HISTOIRE



PERSONNALITÉS


FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉEForces de Kakin


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Fédération Ochima

FONCTIONNEMENT POLITIQUE

L'Archonte, plus haut magistrat du gouvernement, est à la tête de la Fédération d'Ochima.

HISTOIRE

La seigneurie d’Ochima fut fondé en -253 au sein du royaume de Seyin, une des nombreuses nations du nord de Seanchan étant apparut suite à la chute de l’empire Achyménide lors du septième siècle avant notre ère, une pluralité de cultures ayant laissé leurs traces dans le paysage urbain de l’Ochima actuel. Hunko Ryomu, premier seigneur d’Ochima installant son château à Heijō-kyō, obtint ce territoire en triomphant du seigneur Kichin Yinmaru de Hotoda lors du tournoi mis en place pour le couronnement du roi Hito II. Ainsi, ce jeune homme qui jusqu’alors était l’un des champions de la cour royal, membre de la garde royal, s’installa sur des terres appartenant auparavant à la seigneurie d’Hotoda. Kichin, l’homme ayant parié certaines de ses terres dans le fait qu’il pourrait vaincre un des meilleurs combattants du palais afin de prouver ses capacités militaires, resta très frustré du résultat du duel et élabora plusieurs plans pour récupérer le territoire d’Ochima. C’est pour cette raison que dans ses premiers temps d’existence, la seigneurie d’Ochima fut arpenté de nombreux troubles de natures diverses généralement orchestré par leur ancien souverain ou ses descendants. La rivalité entre les deux seigneuries se poursuivit en effet jusqu’à -121 lorsque Aru Yinmaru mourut sans enfant ni frère ou sœur sur le champ de bataille lors de la guerre entre Seyin et Shitaku. Les terres d’Hotoda furent alors disputé par le dernier Yinmaru, qui ne possédait plus de descendance et dont la femme fut assassinée rapidement, ainsi que par le seigneur de Rikoda, petit-fils du cousin du grand-père d’Aru, et le seigneur de Chihan, descendant par le côté maternel d’une branche mineure des Yinmaru. Cependant, lorsque la situation d’Hotoda fut fixé par le roi à la mort du dernier Yinmaru, Renkiga Ryomu d’Ochida entra en ligne de compte en raison de l’affiliation originelle des terres d’Ochima au domaine d’Hotoda. C’est ainsi que la seigneurie vit pour la première fois ses terres être agrandit.

En -88 fut déclenché un conflit majeur de l’antiquité au nord de Seanchan. La guerre des vingt-neuf nations explosa sur la partie centrale du nord du continent. Si ce conflit vit émerger le royaume Karlian, qui tentera même une invasion des Cités Libres en 158, et d’autres petites nations qui grandirent grâce au processus, d’autres en pâtir. C’est de cette façon que Seyin disparut durant l’année -51, absorbé par le royaume de Chutaha qui perdra la moitié de ses terres, dont les anciennes de Seyin, face à l’empire Truske qui venait quant à lui de perdre son sud face au royaume Karlian. C’est en -29 qu’eut lieu le dernier changement lorsque l’ancien royaume de Seyin fut partagé entre la Coalition Drask, Klitaroh et Voglav suite à un traité de paix. C’est ainsi qu’à la fin de la guerre en -20, Ochima se trouvait à la frontière entre Chutaha et la Coalition Drask dont elle faisait partie. C’est des tensions entre le seigneur en place et les hautes autorités Draks qui marquèrent la transition entre les millénaires. En particulier, le peuple d’Ochima participa à une révolte contre l’oligarchie qui contraignit le seigneur Akiri Ryomu d’entrer en rébellion ouverte et demander de l’aide à Chutaha pour protéger sa population qui risquait l’extermination aux vues de ce qui était arrivé en l’an 6 à Tokudo. Ainsi, Ochima repassa temporairement sous la protection de Chutaha jusqu’à l’an 25 où un accord fut passé entre Akiri et le conseil d’état Draskien après des négociations bénéfiques à la population d’Ochima. Cependant, Chutaha enclencha une invasion par Ochima dans les mois qui suivirent en bénéficiant des informations recueillit durant la cohabitation pour traverser rapidement le territoire. Cependant, la stratégie fut contrée par Akiri qui déploya ses troupes pour attaqué par l’arrière la légion de Chutaha lorsqu’elle rentra en confrontation avec les armées des deux régions voisines d’Ochima au sein de la Coalition Drask.

Suite à cette attaque, la tension monta entre les deux nations voisines et le conseil d’état parvint à convaincre Klitaroh et Voglav d’entrer dans la danse. Ainsi, les trois alliés marchèrent sur Chutaha qui fut raser de la carte durant l’invasion de l’an 32, peu avant qu’ils ne soient confronté à une expansion du royaume Karlian qu’ils parvinrent à ralentir en 35 avant de la stopper en 37. Alliés un jour, ennemis le lendemain. Klitaroh et la Coalition Drask entrèrent en conflit en 53 contraignant Voglav à prendre parti pour les draskiens. Klitaroh fut donc partagé entre les deux nations en 59 suite à la bataille d’Okirono Kotagani Sido Hutagi. Suite à l’accroissement de sa taille, la Coalition Drask attira l’œil de l’empire Truske et du sultanat de Karh’ka qui étaient devenu les grands ennemis du royaume Karlian suite à leur alliance récente. Afin de pouvoir recruter davantage de soldat dans le but d’augmenter leur opposition à Karlian et déstabiliser cette grande puissance, les deux nations lancèrent leur projet d’invasion sur la Coalition Drask. La guerre dite de Kitoko dura ainsi de 79 à 95.  Les draskiens finirent par demander un soutien extraordinaire au royaume Karlian durant l’an 91. Ce dernier put alors contrer les plans de ses ennemis, mais négocia malgré toute la cession d’une partie de ses terres à la Coalition Drask qui fut contrainte d’accepter. En 115, le royaume de Yutugari parvient à prendre des terres au nord de Karlian pendant que cette monarchie concentre ses efforts vers le sud. Continuant sur sa lancé, Yutugari s’attaque à la Coalition Drask et s’empare d’Ochima en 118. Profitant du moment, l’empire Truske et le sultanat de Karh’ka s’attaque aux Draskiens par derrière et récupère le reste de ces terres.

Pendant que Karlian continuait son avancée vers le sud, c’est donc ces trois nations qui constituent l’environnement géopolitique d’Ochima et qui voit cette région prendre de l’ampleur. Conscient qu’il faut se faire apprécier des populations conquises, le roi Jarle Ier de Yutugari fait de Ochima, première seigneurie conquise, la région qui englobera toutes les conquêtes faites dans la Coalition Drask afin que les draskiens soient dirigés par des draskiens pour mieux intégrer ce nouveau peuple au royaume. Cela s’avère être une stratégie payante et suite au conflit contre l’empire Truske, Ochima commence à prendre des proportions équivalentes au royaume de Seyin, dans lequel la seigneurie fut fondé, avant de finalement prendre de plus grandes proportions. Il faudra cependant attendre 146 pour voir Ochima continue à croître pour devenir l’une des huit provinces administratives du royaume de Yutugari qui devient la deuxième puissance politique de la région derrière le royaume Karlian. En 181, le royaume Karlian, ayant atteint son apogée suite à la fin de son expansion dans le sud après avoir été bouté par les Cités Libres, tenta de reprendre le contrôle des régions « volé » par Yutugari. Après trois ans de conflit, cela aboutit à un échec de Yutugari fait reculer les frontières de Karlian qui continuera décliner progressivement au fil des ans, puis des décennies et siècles, pour finalement être intégré comme région d’un autre royaume en 1208 et disparaître complétement des cartes en 1395. Yutugari de son côté profite de la situation pour s’attaquer aux truskes qui parviennent à maintenir la frontière durant les batailles d’Akurai en 196 et de Yutuku Shin Kata en 199. Le sultanat de Karh’ka quant à lui, affaiblit par des attaques provenant du nord, s’étiole et finit par être ingéré par Yutugari qui atteint son apogée en 209 suite à l’Echauffourée du Temple de Taramine durant lequel le royaume triomphe de Shar’a no’so’ha.

L’assassinat de Kungari III en 210 vient perturber l’ascension de Yutugari qui se retrouve scinder dans une guerre pour la régence entre les partisans de la branche secondaire de la famille royale, les Zarune représentés par Shirko Zarune, et Trasvine Shérahane, conseiller du monarque désigner comme régent par le testament de Kungari en attendant que son ainé ait l’âge requis. L’assassinat du prince Yaokin à l’aube de ses 15 ans ne fera qu’envenimer la situation et maintenir l’état dans un chaos interne qui permettra à ses voisins de s’emparer petit à petit des territoires périphériques de Yutugari. Ochima se voit alors être progressivement privé d’un quart de son territoire avant que le pays ne soit partagé en deux en 221. La Yutugari du sud, dont Shirko Zarune fut le premier souverain, évita par la suite de s’opposée à son homologue en raison du mauvais souvenir général qu’avait laissé la guerre de régence. Les deux Yutugari s’uniront même pour faire face à l’empire Truske en 245 avant que la Yutugari du sud n’entame une campagne contre Karlian en 250 et que la Yutugari du nord ne fasse face à Arn koh’ta en 251. Cependant, toute la région d’Ochima tombera finalement aux mains de l’empire Truske en 264 lorsque l’administration de la Yutugari du nord s’effondrera des suites d’une série d’assassinat orchestré par les dirigeants d’Arn koh’ta qui mènera à une réduction drastique de cet état. Ochima eut du mal à s’intégrer à l’empire Truske. Ce genre de changements récurrents de régions entre états tout le long de l’antiquité explique le foisonnement conséquent de ruines et autres édifices de diverses cultures mélangés sur les mêmes territoires du nord de Seanchan.

Il faudra attendre 396 pour que l’empire Truske recule et qu’Ochima soit conquise par la Confédération des Nymorains, grande puissance commerciale. Devenant une région à part entière de cet état assez libre sur les droits économiques, le commerce se développa grandement et Ochima devint en 439 une région essentielle des routes marchandes terrestres traversant le binôme de continents Seanchan et Aijen. L’année 485 marqua ainsi un moment majeur de l’évolution d’Ochima au cours des siècles puisque la Confédération des Nymorains se retrouva dissolus et les états l’ayant fondé retrouvèrent leur indépendance, ce qui se transmis aux territoires conquis et permis à Ochima de devenir une nation à part entière : la Fédération de Commerce Ochima. Devenant une puissance commerciale incontestable, le poids d’Ochima dans la géopolitique se fit de plus en plus important puisque l’état pouvait financer un parti dans une guerre. Limitant ses conquêtes, la Fédération passa quand même à l’attaque régulièrement et agrandit son territoire au fil des siècles, que ce soit par la force armée ou par les négociations et traités. S’impliquant militairement dans assez peu de guerre, Ochima ne perdait que très peu de territoires et devint la troisième nation la plus vaste du nord de Seanchan en 1409. Par ses alliances multiples et ses accords passés avec les autres nations, la Fédération étendit son influence à l’ensemble du nord du continent qui étaient dès lors plus ou moins fédérés à la Fédération de Commerce.

Ayant du mal à évolué avec son temps en raison du trop grand nombre d’états présents au nord de Seanchan qui engendrait beaucoup trop de conflit sur un territoire qui n’était pas suffisamment vaste, le poids de toutes ces nations à l’échelle mondiale commença à décliner vers 1640 et se poursuivit en dépit des efforts de nombreux pays important comme Ochima. La raison de ces échecs pouvait être tout simplement dû à de mauvais choix, mais également aux actions de groupuscules comme les pirates de Cariba ou des très hostiles nations hirugidiennes. Ce déclin progressif força de nombreux pays à se rallier à Ochima, mais l’alliance ne suffisait plus pour s’en sortir. Ainsi, des pays entiers s’intégrèrent à la Fédération du Commerce, le phénomène commençant en 1806 avec la république de Tugarde. Ceci explique donc comment Ochima est parvenu à s’étendre sans le vouloir sur tout le nord de Seanchan étant devenu la seule entité politique capable de faire évoluer tous ces peuples baignant dans des cultures et traditions d’autres temps. La Fédération d’Ochima moderne tel qu’elle est connu aujourd’hui a donc vu le jour en 1953, suite à l’intégration de Morigar et de l’empire Churtala, et ses problèmes à gérer un territoire si étendue ne se sont pas arrangé avec le temps.

PERSONNALITÉS


FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉEArmée Fédérale d'Ochima


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Nations Alliées de Bezerose

FONCTIONNEMENT POLITIQUE

Les Nations Alliées de Bezerose, régulièrement appelé simplement Bezerose, forment une association politico-économique sui generis de douzes états de Zakhara qui délèguent ou transmettent par traité l’exercice de certaines compétences à des organes communautaires. Sa structure institutionnelle est en partie supranationale et en partie intergouvernementale : le Parlement Bezerosien est élu au suffrage universel direct, tandis que le Conseil Bezerosien et le Conseil des Nations sont composés de représentants des États membres. Le président de la Commission bezerosienne est pour sa part élu par le Parlement sur proposition du Conseil Bezerosien. La Cour de justice du droit Bezerosien est chargée de veiller à l'application du droit des Nations Alliées de Bezerose. Elle est représenté à l'internationale par un Superviseur à l'application des décisions supranationales des Nations Alliées de Bezerose, membre du Conseil des Nations et du Conseil Bezerosien chargé de l'application des décisions au travers de l'association politico-economique, depuis le traité du 12 novembre 1891.

Chaque état-membre dispose de ses propres institutions et de ses propres chefs d'état, qu'il s'agisse d'un président, d'un roi ou d'un premier ministre. Les relations entre états membres sont si poussé qu'il existe de très nombreux cas de membre d'un gouvernement ayant une haute fonction dans un ou plusieurs autres états-membres, même jusqu'au niveau des chefs d'états.

HISTOIRE

Pourquoi Bezerose et non Zakhara ? En effet, le continent porte le nom de Zakhara et les nations bezerosiennes ont toujours été considérés comme étant toutes celles rattachés à ce continent avant l'apparition de Nomanova qui fait pourtant bien partie de la civilisation bezerosienne. Cela est en fait dû à l'héritage d'union profonde entre les états des Nations Alliées de Bezerose. En effet, il faut remonter jusque vers -1500 pour découvrir les premières mentions de "Bezerose". Le Royaume de Bezerose n'était autre que le résultat de siècles de conflit qui ont aboutie à la domination totale d'un seul monarque sur toutes les terres de Zakhara. À la mort du grand conquérant Diakhara le Grand Unificateur, fondateur de la civilisation bezerosienne qui rentra dans la mythologie bezerosienne comme le père de l’humanité et le créateur du genre humain, ses enfants rentrèrent en conflit et partagèrent le territoire en quatre. Cependant, l'administration et le gouvernement ne pouvait alors pas être partagé entre les différents pays et il fut ainsi partagé à travailler tour à tour pour les quatre états qui, dans le font, étaient géré comme une seule nation.

À l'émergence de gouvernements propre à chaque nation et la séparation de ces dernières en nouveaux pays, les liens forts établis entre chacune d'entre elles furent conservé et amenèrent le continent à une longue période de paix ponctué de quelques conflits et guerres mineurs de rivalité. Plusieurs royaumes se partagèrent la même dynastie, certains souverains régnèrent simultanément sur deux états différents et aux gouvernements différents. Un assortiment de complexité politiques difficile à démêlé à l'instar de ceux qui seraient les grands rivaux des nations de la civilisation bezerosienne : les Cités Libres. Si globalement la paix régnait entre les pays de Zakhara, certaines personnes étaient avides de chaos, de guerre et de batailles. La meilleure façon pour le faire était donc de partir à la découverte des autres continents pour y mener des campagnes. C'est ainsi que naquit la rivalité la plus célèbre de l'histoire géopolitique mondiale lors d'une grande expédition armée du royaume de Nostra vers l'est en -353 qui déclencha la Première Guerre Bezero-Citadine, conflit qui s'acheva tout simplement sur la chute de Nostra qui fut partagé entre ses voisins au départ des citadins.

En -308, Léopold Wurich et Sverein Zerveinch, deux jeunes et ambitieux commandants, s’allient et forment un mouvement séparatiste qui a pour but de dissoudre les structures communes aux diverses nations bezerosiennes. Cette guerre civile connu son apothéose en -276, sept ans après la mort Léopold lors de la bataille des plaines de Zaska, lors de la Croisée des Flèches. Durant cette bataille, Sverein mena les troupes séparatistes pour prendre San Trinidad. Alors qu’ils assiégeaient la ville, ils furent pris entre les troupes de la ville et celles qui vinrent en renforts en encerclant les rebelles. Prit sous une pluie de flèches, la majorité des troupes séparatistes périrent. Cette défaite signa la fin du mouvement qui tenta encore vainement de lutter durant quelques années avant d’être définitivement écrasé en -271 quelques temps après la mort de Sverein. Cependant, les survivants parvinrent à s’enfuir et reformèrent le mouvement en -249 pour entamer une nouvelle guerre civile qui elle s’étendit beaucoup plus dans le temps. Néanmoins, le dénouement n’en fut pour autant pas plus différent et c’est en -125 que les dernières étincelles d’opposition aux régimes en place furent étouffées.

Profitant de l’accalmie politique, trois nations de l’est s’unissent afin de reproduire le projet mener par le Royaume de Nostra, projet qu’ils déclencheront en -84 en envoyant leurs vaisseaux vers les Cités Libres afin d’enclencher la Seconde Guerre Bezero-Citadine en prenant possession d’un des villes adverses. La difficulté de coordonné les mouvements de troupes en étant séparés de cette dernière par la mer rendit les choses compliqués pour les bezerosiens qui furent ainsi amené à leur défaite en étant repoussé. La seconde tentative de percée échoua en -76 et amena la coalition a renoncé au projet. Cependant ce conflit conduisit le citadin Théséon à nourrir des ambitions de conflits et conquêtes qui amèneraient à la naissance de l’Empire Citadin. Théséon mena en particulier le conflit sur le front de Zakhara et les trois royaumes s’étant attaqués aux Cités Libres chutèrent dans son sillage pour intégrer les nouveaux territoires citadins. Théséon fonda Alexanclia sur la côte orientale de Zakhara. Refusant de laisser naître une nouvelle Cité Libre majeur sur leurs propres côtes, les nations de Bezerose s’élancèrent à la reconquête des terres continentales. Si le général Wairforte entra dans la légende en triomphant de Théséon, la reconquête fut bien plus longue et du attendre plusieurs années que l’Empire Citadin faiblisse. Dans une stratégie d’attente de l’opportunité qui mènerait les bezerosiens à la victoire, ces derniers patientèrent jusqu’en 149 pour s’élancé en une horde vers Alexanclia, déclenchant au passage la Troisième Guerre Bezero-Citadine. Alexanclia fut atteinte en 161 et prise en 162, des tensions dans l’ouest amenant certaines armées à freiner leur avancée pour se concentrer sur d’autres problèmes. Si cette victoire écrasante rassura les bezerosiens, elle marqua fortement leurs adversaires qui s’avérerait par la suite encore plus unis pour faire face à leurs rivaux.

Craignant un nouvel assaut futur de la part des citadins, le seigneur Argold de San Trinidad commença à la sortie du conflit à tenter de convaincre ses pairs qu’il fallait lancer toutes les nations de Bezerose contre les Cités Libres pour les écraser et ainsi faire disparaître toute menace. Bien décidé à profité de ce répit, les autres dirigeants ne l’écoutèrent pas mais furent de plus en plus enclin à l’idée au fil des années qui défilait, tant et si bien que le projet commença à être mis sur pied en 230 sous l’impulsion du fils d’Argold, Erweld. C’est en 264 que les nations bezerosiennes s’élancèrent dans leur projet le plus ambitieux, écraser complétement un ennemi sur son propre terrain. S’ils eurent l’avantage dans un premier temps, l’union parfaite qui en découla chez leurs opposants créa une opposition suffisante qui amena la Grand Guerre Bezerosique, nom donné par les citadins, à s’étaler sur pas moins de quatre siècles. Durant toute cette période, la criminalité augmenta sur Zakhara, l’armée n’étant plus assez forte sur place pour gérer tous les problèmes. De plus, plusieurs mouvements cherchèrent à s’emparer du pouvoir, certains dans le but de mettre fin à la guerre, et affaiblir les forces présentent en territoire citadin puisque certaines unités furent rappelées à Zakhara. De plus, les bezerosiens tentèrent de coloniser les terres à l’ouest mais furent confronté à de nouveaux échecs. Le résultat de tout cet investissement fut assez décevant puisque durant le dernier siècle du conflit, les Cités Libres retournèrent la situation à leur avantage et repoussèrent complétement les forces d’invasion. Suite à la défaite officiellement déclaré en 683, le système en place perdit le soutien d’une partie de l’opinion publique.

Amère de la défaite prononcé quelques décennies plus tôt, le seigneur Svarwin de San Trinidad entra en guerre froide commerciale avec Mycénia en 759 dans ce qui fut nommé la Guerre de l’Epice, remporté par Svarwin en 790 par la fin des relations commerciales de Mycénia avec Kakin et Kukanya devenus partenaires économiques de Bezerose. Quelques temps plus tard, l’un des successeurs de Svarwin, Werdog de San Trinidad, repris l’idée de comptoirs commerciaux de Mycénia en fondant la désormais célèbre Compagnie des Épices Occidentales. Cela accru encore les tensions entre Bezerose et les Cités Libres, aboutissant à la Cinquième Guerre Bezero-Citadine, la quatrième étant la Grand Guerre Bezerosique, en 856. Le conflit n’est marqué que par des batailles d’envergures mineurs et se finit sans camp victorieux en 892 lors du Traité d’Alexanclia. Développant encore un peu plus le commerce, les Nations de Bezerose ne refirent pas vraiment parler d’elles avant 1245, date de la Sixième Guerre Bezero-Citadine marquant le dernier tournant de la rivalité entre les deux agglomérats d’état. Le seigneur de San Trinidad de l’époque, Arlwind, convainc ses homologues de relancé le projet d’anéantissement de la civilisation citadine. Cependant celle-ci était devenu bien plus puissante et domina le conflit, conduisant les bezerosiens à conclure une alliance militaire avec Kakin et Kukanya, ce qui fut imité par la naissante Ligue des Cités Libres qui contra l’opération en s’alliant à la Monarchie du Lion et à Zongka.

Traditionnellement, on considère que la triple alliance entre les Cités Libres, la Monarchie du Lion et Zongka marque les prémices du V6 actuel. En effet, d’après des études théoriques, les modifications géopolitiques qu’auraient entraîné la victoire de Bezerose, Kukanya et Kakin sur l’autre triple alliance aurait pu entraîner progressivement la domination de Bezerose, Kukanya, Kakin, Minbo, Sahelta et Ochima qui serait alors devenu le V6 en lieu et place de celui qui existe aujourd’hui. En tout cas, cette nouvelle défaite fut amère pour les nations de Bezerose qui tentèrent une dernière fois de prendre leur revanche dans la Septième Guerre Bezero-Citadine entre 1693 et 1715. Une dernière défaite qui plongea Bezerose complétement dans l’ombre de la civilisation citadine. Tout ces pays de Zakhara revinrent sur le devant de la scène grâce à leur puissance commerciale qui les maintint à une place importante dans la géopolotique mondiale jusqu’à nos jours.

PERSONNALITÉS

-
-
-
-Njord Trismégiste, Sea Hunter ★★

FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉEArmées Alliées de Bezerose


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MessageSujet: Re: Fiches de Pays

République de Minbo

FONCTIONNEMENT POLITIQUE



HISTOIRE



PERSONNALITÉS

-Giovanni Borja, Peace Hunter ★ et président de Minbo
-Bellérophon, Beast Hunter ★★ aussi appelé Threat Hunter

FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉEDivisions Armées Républicaines de Minbo


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MessageSujet: Re: Fiches de Pays

Royaume de Kukanya

FONCTIONNEMENT POLITIQUE



HISTOIRE



PERSONNALITÉS

-La Présidence de l'Association Hunter

FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉEForces Royales d'Ipoca


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MessageSujet: Re: Fiches de Pays

Nomanova

FONCTIONNEMENT POLITIQUE

L'Assemblée de Nomanova, siégeant à Dorfuss, est l'organe politique majeur du pays. Cette organisme qui rassemble des représentants de tout les corps de métiers de ce pays remplis d'artisans possède à la fois le pouvoir législatif et exécutif, servant en même temps de parlement et de gouvernement. Le Président de l'Assemblée sert donc de Président de la Fédération et est élu tout les ans parmi les membres de l'assemblée, eux même élus par leurs corps de métier dans leurs régions tous les cinq ans. Les paysans étant les piliers majeurs du pays, quasiment une caste aristocratique, leur importance et leur influence au sein de l'Assemblée sont la plus grande.

En ce qui concerne le pouvoir judiciaire, il est entre les mains des juges qui sont mandatés par l'Assemblée pour faire régner l'ordre dans les différentes régions et sont surveillés par la Commission Judiciaire qui est en mesure de juger les juges qui ont théoriquement autant de pouvoirs qu'un seigneur sur la société de Nomanova. Les commissionnaires se déplacent en groupe dans le pays et se retrouve de temps à autres pour régler les affaires importantes.

HISTOIRE

Nomanova est une île où l’agriculture est une activité extrêmement dangereuse. En effet, à Nomanova, les végétaux ont développé des capacités de défenses particulièrement efficace repoussant les humains. On y trouve ainsi des champs de céréales dégageant des vapeurs toxiques et disposants de feuilles vénéneuses, des arbres fruitiers à l’écorce entièrement épineuses et aux feuilles aussi tranchante qu’un rasoir ou encore des fleurs carnivores sécrétant un poison paralysant ou tétanique s’insinuant dans le corps si jamais il est en contact avec la peau. Ainsi seul l’élite est en mesure d’exercer l’activité de paysan et dispose d'un statut semblable à des chevaliers dans une société féodale.

De par ces conditions dangereuses et son caractère inhospitalier, Nomanova est resté très longtemps inhabité. Seul quelque aventuriers, dont des hunters, osèrent partir à la découverte de ces territoires terrifiants. C'est en 1841 qu'un ministère des Nations Alliées de Bezerose entreprit le projet de colonisé l'île et s'associa aux plus brillants Botanical Hunters de l'époque afin de s'enfoncer dans l'île et y construire une ville, Dorfuss. Sécurisant le passage grâce à l'aide des Hunters, plusieurs populations immigrèrent pour commencer une nouvel vie, que ce soit pour fuir leur pays ou pour découvrir un nouveau monde. Rapidement, les Botanical Hunters érigèrent des fermes qui s'avéraient être de petites forteresses de bois au centre des exploitations tandis que les villes et villages se formérent derrière une, deux ou trois rangées de murailles ou de palissade pour se protéger de l’invasion de la Nature.

En 1856, sous la pression des habitants, leurs protestations et manifestation dirigés par le Botanical Hunter 2 Etoile Darmian Hollerg, les Nations Alliés de Bezerose acceptèrent l'indépendance de Nomanova tout en refusant d'être une nation faisant partie de leur alliance. Ainsi, la Fédération de Nomanova est un état récent protégé par des Hunters intéressés par la faune exceptionnelle des lieux qui ont pu enseigner leurs connaissances pour faire des paysans de ce pays des experts dans le domaine. Tout cela en fait une cible extrêmement complexe à abordé, ce qui explique la relative tranquillité de la nation au sein de la géopolitique internationale et l'absence de vengeance des Nations Alliés de Bezerose.

PERSONNALITÉS

-Orcane Lerwis, Président de l'Assemblée
-Silverberg, représentant en chef des paysans à l'Assemblée
-Balbrog, Botanical Hunter ★★
-Werdilg McCruise, Botanical Hunter ★
-Erdann Namokiv, Gourmet Hunter ★
-Goldenberg, Botanical Hunter ★★ à la retraite, zodiaque il y a cinquante ans

FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉECorps de Défenses des Territoires Agricoles de Nomanova

-> L'Assemblée de Nomanova dirige l'armée au travers du sous-conseil de la Guerre composé de 35 membres de l'Assemblée.
- Trois des paysans élus à l'Assemblée peuvent monter et diriger le Corps de Défense Paysanne sous la supervision du sous-conseil de la Guerre.
- Vingt membres de l'Assemblée peuvent rassemblée des civils inscrit comme "soldats engagés à la défense nationale" et les Milices afin de monter et diriger les Cinq Corps Provisoires Militarisés sous la supervision du sous-conseil de la Guerre.

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MessageSujet: Re: Fiches de Pays

République de Padokia

FONCTIONNEMENT POLITIQUE


La république de Padokia est un régime présidentiel démocratique dans lequel le présidentialisme est clairement dominant. En d'autres termes, le président a peu ou prou tous les pouvoirs et son autorité prévaut totalement sur celle du parlement bicaméral du pays. Ce parlement est constitué de deux chambres : la chambre haute comptant vingt-quatre dignitaires choisis par le président à son élection, et la chambre basse constituée de quarante-huit représentants élus par le peuple. Toute demande doit d'abord passer par la chambre basse et être débattue par celle-ci avant d'arriver à la chambre haute qui prendra la décision finale de la soumettre ou non au président. En clair, tout changement législatif ou constitutionnel doit finalement être validée par le président afin d'être officiellement appliquée. Le président peut aussi prendre des décisions sans l'aval du parlement à condition d'en informer la chambre haute et d'assumer pleinement la responsabilité de ses actions. En effet, le leader de Padokia ainsi que ses dignitaires ne sont pas au-dessus des lois du pays et peuvent être arrêtés et jugés à tout moment si jamais ils enfreignent celles-ci. Une frange entière du système judiciaire est spécialement dédiée aux enquêtes et aux affaires impliquant les dirigeants ainsi que leurs proches. La branche en question, appelée Haut Tribunal, est à dissocier du Bas Tribunal qui s'occupe des affaires de la classe moyenne. Les hommes et les femmes du Haut Tribunal sont vus comme le summum de l'intégrité du pays et sont surveillés de près par certains serviteurs de la famille Koroshi. Cette dernière joue un rôle prépondérant dans le système politique de Padokia depuis plus de trois-cents ans et est à la fois garante de la sécurité du peuple et du bon fonctionnement du système politique. Il s'agit du résultat d'un accord politique historique signé vers le milieu du dix-huitième siècle à Kukuroo Mountain, demeure actuelle des Koroshi.

HISTOIRE


Avant le début du dix-huitième siècle, Padokia était essentiellement constituée de terres de non-droit sur lesquelles régnaient plusieurs clans de fières tribus nomades. Ces dernières vivaient principalement des bienfaits de la nature ainsi que des vivres volées lors de razzias sur les rares villages s'étant bâtis dans les environs, ceux se trouvant sur les frontières actuelles de Minbo et de Confédérations Unies ayant le plus souffert de ces attaques. La loi du plus fort prédominait en cette époque et les histoires de bandits sanguinaires venus de Padokia se multipliaient et se passaient de génération en génération aux alentours des zones touchées par ce fléau, tant et si bien que plus aucun étranger n'osait mettre les pieds sur les territoires attribués aux nomades. Les habitants des villages proches de ces terres maudites quittaient peu à peu leurs lieux de naissance en quête d'endroits plus favorables à la vie puisque moins exposés aux attaques Padokiennes. Ainsi, le territoire des tribus guerrières s'agrandissait incidemment de décennie en décennie jusqu'à atteindre sa taille actuelle.

En 1712, la famille Koroshi arriva sur le territoire des nomades et décida d'en faire le sien. En effet, suite à l'assassinat du prince Azuma Azuko commandé par son frère Tsukyo Azuko, ils avaient été forcés à l'exil par l'empereur Tosen Azuko alors en deuil. Après une décennie d'errance, ils avaient finalement entendu parler de terres vierges de toute autorité puisque infestées de bandits. Très rapidement, les Koroshi s'imposèrent comme les maîtres incontestés des lieux, soumettant par la force les diverses tribus qui n'eurent d'autre choix que de leur obéir. Les rares survivants du massacre se mirent au choix au service des illustres assassins ou fuirent vers Minbo, les Confédérations Unies étant mieux défendues à l'époque. La famille élut alors domicile sur le mont le plus haut du pays pour symboliser sa dominance absolue.

Pendant un peu moins de trente ans, le règne des Koroshi sur Padokia ne souffrit d'aucun problème ni d'aucune tentative de rapprochement de la part des pays avoisinants. Cependant, le 8 décembre 1741, une missive diplomatique des Confédérations Unies leur parvint. Suite à une récente crise politique connue par le pays, des milliers d'hommes et de femmes se sentant persécutés par le parti politique le plus puissant avaient dans l'idée de coloniser le territoire vierge sur lequel régnait la famille. Après des négociations qui durèrent quatre jours, les Koroshi acceptèrent finalement d'autoriser les colons à s'installer sous plusieurs conditions parmi lesquelles des compensations financières hebdomadaires et un droit de participation à la constitution du pays que comptaient fonder les colons. Ainsi naquit officiellement la République de Padokia.

PERSONNALITÉS

-La Famille Koroshi
-Le Président

FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉEArmée de Padokia


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Jappon

FONCTIONNEMENT POLITIQUE

Le Roi est le chef d'état officiel, mais surtout symbolique, du pays qui possède un rôle cérémoniel. Il ne dispose d'aucun pouvoir au sein du gouvernement. Le Roi est l'héritier de Jinku, fondateur du Jappon et divinité protectrice de l'archipel, et porte ainsi la mission sacré de protégé le peuple japponais depuis des temps immémoriaux. Autrefois premier acteur de la politique du pays, son pouvoir s'est vu étiolé durant l'ère de Yo et l'ère de Ko. Il reste de la gloire passé du titre royal le palais ainsi que toutes les découvertes archéologique montrant l'histoire du pays et surtout du titre royal.

La Diète nationale est le pouvoir législatif du pays et est, comme souvent, bicamérale, c'est à dire composée de deux instances. On a d'abord la Chambre des conseillers qui est la chambre haute composée de 282 membres élus pour six ans : tout les trois ans, 94 conseillers sont élus au vote unique non transférable au niveau des 46 préfectures, et 47 sont élus à la proportionnelle au niveau national. Ensuite il y a la Chambre des représentants qui est la chambre basse composée de 450 membres élus pour six ans : 300 représentants élus au scrutin uninominal majoritaire à un tour par circonscription, 150 élus au scrutin proportionnel plurinominal par grandes régions. Ainsi, à l'inverse de nombreuses nations, les membres des deux chambres sont directement élus par le peuple.

Le pouvoir judiciaire lui est entre les mains de la Cour Suprême qui se base sur la Constitution du Gouvernement de Ko pour décider des questions de droit national et détient un pouvoir de contrôle de constitutionnalité sur les décisions et actions de l'exécutif, du législatif, des collectivités locales et de leurs administrations. Ses membres sont nommés par le gouvernement puis soumis à une procédure de vote de rétention. La Cour comprend quinze juges qui siègent dans trois chambres de cinq juges.

Enfin, le Premier Ministre élu par la Diète national détient le pouvoir exécutif, choisissant son Gouvernement, et est soumis à réélection au bout d'un, deux ou trois ans en fonction des changements de direction au sein du parti majoritaire. C'est lui qui dirige dans les fait le pays même s'il demeure grandement soumis aux aléas de son parti qui constitue généralement la majorité du Gouvernement.

HISTOIRE

L'archipel du Jappon est habité depuis le douzième millénaire avant notre ère. Une civilisation ancienne, appelée le peuple de Sakura, s'y était établit et disparu vers le neuvième millénaire pour des raisons encore inconnus des archéologues qui continuent de rechercher des ruines de. Suite à cela, les premiers a migré d'Ipoca vers ces îles pour s'installer de manièrent prolongé furent les Ayïnoos qui fuyaient les assauts des Yutakas et des Sumanjis. D'autres vagues d'immigration des peuplades anciennes, amenèrent un peu de diversité sur l'archipel jusqu'au milieu du second millénaire où commença la Période Hinoki. Les Hinokis, désigné comme les habitants d'une région spécifique du milieu de l'île principal, tentèrent de soumettre l'archipel pour le diriger. Si les premières conquêtes furent assez aisé, les autres habitants prirent conscience de la menace et se rassemblèrent là où les Hinokis s'étaient dispersé pour mener leur assaut dans toutes les directions en même temps. Échouant ainsi une première fois, ils recommenceront à plusieurs reprises tandis que leur influence culturelle et technologique commencerait à rayonné jusqu'au moment où il parvinrent à conquérir l'île principal vers les années 2200 avant notre ère.

La période Hinoki prit fin vers 2050 avant notre ère suite aux révoltes des populations local et une incapacité à maintenir son influence sur un territoire si vaste pour le nombre d'Hinokis. Afin d'éviter des représailles, les Hinokis abandonnèrent en effet leurs terres pour se réfugier vers le nord et perdirent par conséquence une grande partie de leurs avancés. On peut noté ensuite la période Yakon, de 1950 à 1450 avant nôtre ère, ainsi que la période Kankyuakuya, de 1200 à 850 avant notre ère, où la culture de ces deux peuplades rayonna leur assurant la prédominance sur les autres habitants de l'archipel. C'est durant la période Jinmun, qui débuta en moins 400, que les choses évoluèrent. En effet, les habitants de la région de l'actuel Yokohana furent unis autour d'une même figure d'autorité, le chef d'un village qui demande aux autres chefs de lui prêter allégeance. Quelques décennies plus tard émergea alors celui que l'histoire retiens comme le fondateur du Jappon actuel, un conquérant du nom de Jinku qui entama une campagne lente lui permettant d'intégrer à son territoire des peuplades qu'il ne traita pas comme des soumis mais comme des nouveaux membres à part entière de sa communauté. Par une politique d'intégration à sa société, Jinku et ses descendants permirent d'étendre leur domaine à tout l'archipel en deux siècles tout en unifiant progressivement la population en un seul peuple.

Au fil des générations durant ces deux siècles, Jinku devint une figure divine protectrice envoyé par les dieux sur terre pour placer tout les hommes sous sa protection et les sauver des conflits entre régions. Forts de cette réinterprétation de la réalité, le descendant de Jinku qui termina la conquête de l'archipel se fit nommé premier roi du Jappon, un rôle qui le place comme porteur de la mission de Jinku et héritier des valeurs divines. La religion Kohoniste continua de se développer autour de la figure royal jusqu'à la fin de la période Jinmun en 158 où le dernier descendant de Jinku fut assassiné par l'un de ses ministres qui revendiqua le trône. La Guerre de Tongpei qui suivit durant la même année amorça la période Toho. Les seigneurs de chaque région prirent partie pour une figure politique afin de la soutenir pour que celle-ci deviennent le nouveau souverain. C'est en 164 que Yahuto, seigneur de Yokohana et du clan Tokugei dont la famille descendrait du fils cadet de Jinku selon les mythes écris autour du fondateur du Jappon, monta sur le trône et assura la mission sacré de protection des habitants de l'archipel.

C'est par la volonté de cette nouvelle dynastie qui désirait s'ouvrir vers l'extérieur que le Jappon se dota d'émissaires qui quittèrent le pays pour aller à la rencontre d'autres nations de l'époque et entamé des relations diplomatiques. Si cela semble se passé bien dans un premier temps, des conflits commenceront à éclater quelques temps après la fondation d'une ambassade sur Ipoca. Le Jappon se referma alors sur lui même, acceptant uniquement le commerce avec les étrangers qui n'avaient pas le droit de venir vivre sur l'archipel en dehors des ports. Cela constituait même un décret royal découlant de la mission de protection des Japponais qu'avait l'empereur puisque les étrangers mettraient en danger le pays. Alors qu'une monnaie à base de cuivre fit son apparition en 421, la dynastie fondé par Yahuto prit fin en 435 pour laisser sa place au clan Fujikata qui réforma le pays, notamment pour modernisé le système d'écriture, ce qui conduisit à la fin de la période Toho et le début de l'époque Rano en 488.

Les Fujikata furent renversé par le clan Tunko dès 529, ce qui entama une refonte des valeurs royales pour retrouvés celles originelles de l'époque de la fondation du pays. Viens ainsi une nouvelle tentative de rencontre avec l'extérieur qui se solda par un échec lorsque les marchands d'Aijen vinrent soutenir le clan Kageko qui voulait complètement ouvrir le pays aux étranger, ce qui aboutit à une guerre gagné par le régime en place et qui réduisit à nouveau les relations du pays avec l'extérieur à peau de chagrin. L'époque Rano se finit dans la douleur puisque des troubles s'installèrent au sein de la famille royal en 867, menant à des assassinats et une guerre au sein même du palais, tandis que des troubles se multipliaient en campagne durant la même année. Il faudra trois tentative de coups d'état avant que le dernier membre des Tunko ne soit tué par un de ses stratèges en ayant assez de ces troubles. Le stratège ouvrit ainsi les portes du palais assiégé par la population qui pénétra dans le domaine et mis à sac les lieux avant que le général Gotama du clan Kuji, meneur des troubles de Hoeian et des révoltés de Kogen, n'arrive avec ses hommes pour prendre le pouvoir et instaurer le Yusei, l'ère féodale, et plus précisément l'époque Togei en 869.

Gotama instaure le Yogunat sur les bases de la monarchie, un système donnant le pouvoir à l'autorité militaire qui ne diffèrent dans les fait que peu de la succession dynastique de par la domination qu'instaura dès lors le clan Kuji. C'est à cette période que la société guerrière du Jappon se développe avec ses samouraïs, ses ninjas et autres castes combattantes qui sont au service du Yogun. L'époque Togei est marqué par quatre événements majeurs : l'apparition de la secte Zu en 945 qui fait apparaître une nouvelle religion au sein du pays, une tentative d'invasion de l'archipel par Kukanya en 999, l'arrivée du Culte de Bodhiisahttarma en 1070 et la tentative d'invasion de l'archipel par l'Empire Soviaskev en 1203. Si l'état militaire du Yogunat développa les défenses de l'archipel au point de pouvoir repousser les tentatives d'invasions, les propres campagnes et guerres en territoire étranger mené par le clan Akoga à partir de 1113, après l'éviction du clan Kuji, jeta petit à petit le discrédit sur le Yogunat qui mena à la fin de l'époque Togei. Des révoltes poussèrent à la Restauration de Kujei, la royauté revenant entre 1239 et 1244, mais le clan Akoga renversa le régime par la force et réinstaura le Yogunat en lançant l'époque Tokagana.

La dictature militaire trouva une forte opposition au nord du Jappon qui se souleva contre les représentants du Yogun. Ainsi en 1256, la cour royal du Nord voit le jour autour du seigneur Tonatakei du clan Goju qui prétends avoir vu Jinku en rêve lui intimant de restaurer l'ordre, l'équilibre et l'harmonie dans l'archipel en chassant du pouvoir la dictature des Akogas. Revendiquant ainsi une légitimité divine à s'emparer du pouvoir, Tonatakei et ses descendants menèrent une longue lutte pour vaincre le Yogunat qui aboutit finalement en 1401 après qu'une partie de l'armée du Yogun le trahisse pour rejoindre les royalistes qui prirent Yokohana et lancèrent l'époque Chibana. Le clan Akoga s'étant vu déclaré ennemi de la nation, quelques membres parvinrent à fuir et se réfugièrent dans d'autres pays. C'est de cette façon que Akoga Yunpei mena les troupes de Kukanya contre le Jappon en 1405, conflit durant lequel il mourut au combat mettant un terme à la tentative de ré-instauration du Yogunat.

L'époque Chibana prends fin en 1584, après quelques guerres avec d'autres pays, lorsqu'Akoga Yunkai viens s'emparer du pouvoir avec l'armée de la Monarchie du Lion afin d'instaurer un régime d'occupation qui ne durera qu'un an, Yunkai trahissant le monarchie pour prendre lui même le pouvoir. L'age du chaos s'étends alors de 1584 à 1592 et voit s'affronter de nombreux camps pour la régence du Jappon. Cette âge sombre prit fin lorsque Akoga Yunkai et Goju Into s'allièrent pour ramener la paix en instaurant un double régime, le Yogunat et la royauté coexistant de manière officielle alors pour garder unis le Jappon. C'est ainsi que commença l'ère de Yo qui fut marqué principalement par des famines et des révoltes n'aboutissant pas ainsi que des accords commerciaux plus poussé avec les nations étrangères, en particulier les Cités Libres et les Nations Alliées de Bezerose. L'affaiblissement du Yogunat mènera cependant au retrait définitif du clan Akoga en 1689 et à l'établissement d'un gouvernement qui transformera le régime en monarchie constitutionnelle alors que le clan Goju c'est vu voit remplacé par le clan Azuko, famille seigneuriale millénaire descendant d'une branche mineure du clan Tokugei d'après leurs archives, en 1643 suite à un attentat étranger tuant la famille royal.

L'ère de Ko, dernier découpage de l'histoire de l'archipel, débute en 1861 lorsque le gouvernement ouvre finalement le Jappon à l'extérieure suite à la pression politique des autres nations et l'intérêt économique. L'influence des autres pays poussera également le gouvernement à retiré tout pouvoir concret au roi qui devient un souverain symbolique et spirituel, les japponais suivant plusieurs religions à la fois et restant ainsi encore dans la foi initiée par Jinku de nombreux siècles plus tôt. Depuis lors, l'archipel rattrape le retard qu'il avait accumulé et à trouvé sa place dans la géopolitique mondiale.

PERSONNALITÉS

-Azuko Renmu, Roi du Jappon
-Tenka Irata, Premier Ministre
-Mikaroto Yota, ancien premier ministre
-Kuji Tanakora, directeur de Sun Broadcasting Company

FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉEForces d'Autodéfenses Japponaises

-> Le Togun, titre remplaçant le Yogun après la chute du Yogunat, est le général en chef des armées japponaises.
- Le Kogan dirige la Force terrestre d'autodéfense japponaise
- Le Rachin dirige la Force maritime d'autodéfense japponaise
- Le Kimei dirige la Force aérienne d'autodéfense japponaise

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Aggamemnia de Phila
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Union de Mitene

FONCTIONNEMENT POLITIQUE

L'Union de Mitene est formée par cinq pays : la Région autonome de NGL, la république de Rokario, la République de Hasu, la République du Gorutô Ouest, et la République du Gorutô Est.

NGL est une région autonome qui essaie de vivre en marge des technologies modernes et son fonctionnement politique en est drastiquement impacté. Ainsi, la région est dirigé par la Communauté de Baldin dont de nombreux membres sont inconnus du grand public. C'est Radaman qui représente le pays à l'international en tant qu'ambassadeur de NGL chez l'Institution.

La république de Rokario est la nation la plus ancienne des pays actuelles composant l'union de Mitene. Elle est dirigé par un président élu au suffrage universel direct tout les quatre ans qui nomme le reste du pouvoir législatif, c'est à dire le parlement, là où les ministres détenant le pouvoir exécutif sont élus au suffrage universel direct tout les quatre ans avec deux ans de décalage avec le président.

La République de Hasu était auparavant une monarchie constitutionnelle, mais changea récemment sont fonctionnement pour évité la crise et la révolte civile en adoptant la même structure politique que Rokario.

La République du Gorutô Ouest est une nation partageant de nombreuses relations avec le reste du monde. Le gouvernement dirigé par un président élu au suffrage universel indirect tout les sept ans dispose du pouvoir exécutif là où le sénat, élu de la même manière, dispose du pouvoir législatif.

La République du Gorutô Est est actuellement l'état le plus important de la région depuis son alliance avec Zongka. Ce pays dans lequel il est difficile de rentré est en réalité une dictature et il suffit de converser un peu avec la population pour s'en rendre compte. En effet, la pseudo-république ne dispose d'aucun système d'élection et c'est le Président ainsi que son Gouvernement qui dispose de tout les pouvoirs sur la région.

HISTOIRE

Face aux puissances continentales, les pays s’étant établis sur les îles Barusa au sud de Yorbian au fil des siècles ont toujours cherchés à échappé à la menace des grandes puissances lorsque celle-ci ne s’étaient pas emparés de ces territoires au milieu de l’océan. Il faut en effet remonter aux années 200 ans pour voir la naissance de la seule véritable superpuissance des îles Barusa qui naquit sur les terres de l’union de Mitene. Île habitée par des populations indigènes, c’est l’une d’entre elle, les Aya-kitis, qui commença à grandement croître lorsque les dieux de la guerre leur accordèrent des victoires en série sur des tribus voisines. La domination Aya-kitti s’installa donc progressivement avant de s’étendre à toute l’île de Mitene en 289. Sentant avoir le vent en poupe, les Aya-kitti s’élancèrent dans leurs pirogues de guerre afin de rallier de nouvelles terres. Face à l’étendue conséquente du peuple Aya-kitti, ces derniers se rassemblèrent derrière un chef qui les amena à se montrer encore plus agressif dans leur politique d’extension. C’est en effet, le grand prêtre de leur dieu de la guerre qui s’imposa comme la figure d’autorité majeur de l’Empire Aya-kitti. Les conquêtes se succédèrent jusqu’en 402 où ils se heurtèrent aux continents qui les balayèrent par leur art de la stratégie militaire. Dans le même temps, la société Aya-kitti commença à s’écrouler face aux rebellions de peuplades soumises et la largeur de leur territoire bien trop étendue pour être dirigé par un peuple devenu comparativement trop réduit. L’Empire Aya-kitti acheva son déclin en 431 suite à la révolution des Yatoo-koha qui repoussa les Aya-kitti jusqu’à l’ouest de Mitene, sur les terres de l’actuel NGL.

En 509, les nations bezerosiennes butant à l’est contre les Cités Libres, l’une d’entre elle envoi des navires vers l’ouest. C’est ainsi que Mitene est découverte par les continentaux de Zakhara qui lance un processus de colonisation qui fera petit à petit disparaître les cultures indigènes qui devront rejoindre l’état étranger en se soumettant ou disparaître dans la guerre. Les premières cités sont fondées sur la côte orientale entre 510 et 521. L’arrivée de la civilisation bouscule complétement l’évolution de Mitene qui se retrouve à s’adapter aux règles bezerosiennes. Cependant, profitant de l’énorme conflit entre Bezerose et les Cités Libres, le commandant Leodug Tornflict qui dirigeait la colonisation décida de se détacher des nations de Zakhara pour former son propre état sur ces terres. L’indépendance fut donc prononcée en 533 après que Bezerose ait fournit tout ce qu’il fallait pour la colonie à Leodug. Isolé, l’état de Mitene, qui donna son nom à l’île, vécu en marge du monde pendant quelques décennies avant que les explorateurs de Yorbian ne débarquent vers 585. Pendant que le petit fils de Leodug négociait avec ces nouveaux venus pour maintenir son pays en place et laisser la seconde partie aux nations de Yorbian, une nation bezerosienne prit le temps de monter une expédition de vengeance envers la descendance du Tornflict. C’est ainsi que la côte orientale fut ravagée par une série de raid d’un amiral bezerosien en 592. Face à la pression que cela exerçait sur l’état de Mitene, Wuldvig Tornflict accepta alors la proposition de Zongka et rattacha son pays à l’influence continental, perdant sa place de chef d’état pour devenir Gouverneur de Mitene. C’est ainsi sur l’île que les cultures de Zongka et du Bezerose se mélangèrent et aboutirent à quelques nouveaux styles architecturaux que l’on peut retrouver notamment dans certains des palais qui se trouve toujours sur Mitene aujourd’hui.

En 796, la tension éclate en conflit armée dans les îles Barusa et les habitants de Mitene en profite pour destituer le gouverneur, poste qui s’avéra porté par des émissaires de Zongka à partir de 621. De nouveaux indépendants, des conflits internes explosent en raison des désaccords au sujet de l’établissement du nouveau pouvoir à mettre en place tandis que l’armée se retrouve prit dans la Guerre de Barusa. La zizanie s’installe et amène à la séparation de l’île en trois états voisins rivaux en 800. Ces trois nations sont la Monarchie de Rung dirigé par Wung Zakung originaire de la cour de Zongka, la République de Mitene dirigé par un gouvernement de Mintenois et enfin la Fédération Bezerosienne de Barusa dirigé par Liong Voklun, un descendant d’un lieutenant de Leodug soutenu par Bezerose. Ce premier partage de l’île sera suivi de nombreux autres. Des invasions dû à la Guerre de Barusa amène l’implication d’autres états sur le territoire mitenois et aboutit également à la dissolution de la République de Mitene brisé par les tensions internes au gouvernement et les assauts étrangers répétés. À la fin de la Guerre de Barusa en 849, ce n’est pas moins de neuf nations qui se dressent sur l’île. Il faudra attendre d’autres conflits pour que le nombre soit réduit à cinq en 934. C’est en 1018 que la République de Rokario encore en place actuellement, héritière à la fois de la Monarchie de Rung et de la Fédération Bezerosienne de Barusa, voit le jour suite à l’unification de deux états. C’est l’implication de Soviaskev en 1145 dans le partage territorial des îles Barusa qui aboutit à la naissance de Tibana qui mutera à quatre reprises avant de devenir la République de Hasu en 1569.

Zongka revint également à la charge en 1206 pour imposer ses souhaits et conquiert la partie orientale de l’île afin d’y installer un gouvernement et se servir de Mitene comme point de départ de la conquête global des îles Barusa. C’est ainsi que voit le jour Gotura qui sera l’élément déclencheur du Conflit des Trois Flottes lancé par Zongka en 1210 pour tenter cette fameuse conquête des îles Barusa et qui verra intervenir les bezerosiens et l’Empire Soviaskev respectivement dès 1213 et 1217. Cette guerre se termina en 1248 sans véritable vainqueur par abandon des trois plus grandes puissances belligérantes qui commençait à perdre beaucoup trop d’argents et d’hommes dans le conflit, notamment pour les bezerosiens qui entamaient la Sixième Guerre Bezero-Citadine. La tension emmagasinée entre Zongka et Soviaskev à l’occasion de ce conflit maintint les deux nations dans un état d’observation de l’autre. Tout cela permit à Mitene de se faire oublier durant deux siècles. En 1522, Gotura devient le royaume de Gorutô suite à une révolution causée par un sentiment d’abandon de par de la nation tutélaire que représentait Zongka. Avec la multiplication des relations entre grandes puissances continentales, la situation des îles Barusa situé en marge du monde connu intéressa de moins en moins et offrit à ces dernières de la tranquillité en dehors de leurs propres guerres. On peut notamment mentionner la Guerre Ilienne Méridionale entre 1701 et 1719 qui amena Hasu à s’étendre temporairement sur une autre île. C’est finalement en 1856 que le Gorutô se sépare en deux suite à des années de dissensions entre les deux partis politiques principaux du pays. Enfin, en 1997, l’Institution négocie avec Rokario pour permettre à NGL d’être fondé sur Mitene dans des terres qui étaient sous exploité par la république.

PERSONNALITÉS


FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉECoalition d'Assaut Mitenoise

-> Les gouvernements de chaque pays dirigent leur propre armée et doivent collaborer ensemble pour coordonner l'ensemble des forces.
- L'armée de Rokario dispose de la meilleure force de frappe aérienne
- L'armée d'Hasu possède la meilleure marine
- Les troupes de NGL sont réduites à des troupes d'assaut très performants
- L'armée du Gorutô Ouest est globalement équilibré
- Le Gorutô Est dispose d'un armement conséquent et de soldats performants

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Aggamemnia de Phila
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Vinidek

FONCTIONNEMENT POLITIQUE

Actuellement, Vinidek est une oligarchie. En effet, elle est entièrement dirigé par un Sénat qui dispose du pouvoir législatif, exécutif de judiciaire. Le Sénat est composé de trois types de membres. Les Magisters sont les chefs des familles nobiliaires principales de la cité. Les Tribuns sont des membres de la noblesses élus tout les dix ans par les autres nobles pour représenter les intérêts des classes intermédiaires. Etant une ville où les ouvriers constituent la majorité de la population, le Sénat accueillent également de nombreux représentant de la classe populaire. Les Syndicalistes, qui comme leur nom l'indique font partie des syndicats qui équivalent à des partis politiques pour les élections spécifiques de la classe ouvrière, sont élus tout les cinq ans par les ouvriers.

HISTOIRE

Construite entre 1845 et 1862 d'après une adaptation du modèle 5.64 du Projet Forteresse Flottante de l'Empire Technologique Soviaskev, Vinidek était originellement une ville rattaché à la superpuissance technologique. Construite à Sonto-Pelisgrad, Vinidek fut envoyé vers Portovici à Ochima. Portovici était au cœur d'un conflit diplomatique puisque les citoyens désiraient quitter Ochima pour rallier un pays plus puissant. La solution pour accueillir la population de la ville et la ramené à Soviaskev était Vinidek. Le projet marcha, mais certains décidèrent de demeure dans la ville flottante qui fut temporairement reconvertis en paquebot de croisière lorsqu'il n'était pas utilisé par l'armée pour faire du transport de troupes. Soviaskev apportait des améliorations technologiques au fil des années et, au fur et à mesure du temps, la population de Vinidek grandit. Certaines personnes commencèrent à créer des entreprises sur place et la ville commença à intéresser.

C'est ainsi en 1941 que la population de la cité flottante se révolta. Le mouvement fut financé par les entreprises qui souhaité prendre le contrôle de la ville pour ne plus avoir à payer les lourdes taxes qu'imposait l'Empire et mené par les ouvriers ayant élu domicile dans la cité afin de mener à plein temps leur travail dans les profondeurs des machineries. C'est donc en 1943 que l'Empire de Soviaskev abandonna Vinidek et en déclara l'indépendance. La cité-état est donc une des nations les plus jeunes qui existe actuellement. Approché par la Ligue des Cités Libres, Vinidek intégra cette illustre rassemblement de nations en 1949. Suite à des tensions politiques entre les autres villes et Vinidek ainsi qu'au refus du Sénat de se plier aux décisions de l'Ecclésia, la cité paquebot quitta la Ligue des Cités Libres dès 1965.

Depuis lors, la ville flottante se déplace sur les mers du monde et limite ses interactions avec les autres entités politiques. Néanmoins, Vinidek reste lié à l'Institution qui dispose d'un bâtiment sur place qui accueille les ambassades des divers nations du monde. Restant globalement à l'écart des conflits, elle peut conserver son indépendance pour l'instant. Depuis quelques années, des disparitions se multiplie au sein de la cité et la population crains qu'il faille rallier un pays du V6 si jamais une guerre de grande ampleur éclaté afin d'assurer leur survie.

PERSONNALITÉS

-Antenoreo Puertoditché, chef des Magisters au Sénat, PDG de Vinidek Water Company
-Lorvald Griblain, chef des Tribuns au Sénat, actionnaire de Vintnay Corporation
-Erlward Vicioni, chef des Syndicalistes au Sénat, président du STMLO
-Sardoni Lignicio, leader du Mouvement Ouvrier Révolutionnaire

FONCTIONNEMENT DE L'ARMÉEGarde Urbaine de Vinidek

-> La Garde Urbaine obéit au Sénat
- La Section Poupe s'occupe de la sécurité des hauts quartiers et donc de la noblesse
- La Section Proue s'occupe des bas quartiers
- Les Sections 1 à 4 sont réparties dans les autres quartiers de la cité
- Les Sections -1 à -4 sont chargés de la surveillance et de la sécurité de la machinerie du vaisseau
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Aggamemnia de Phila
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